Le sujet de Z̤ est une question qui a suscité un grand intérêt et une grande intrigue au fil des années. Actuellement, c’est l’un des sujets les plus débattus et analysés dans différents domaines et disciplines. L'importance de Z̤ réside dans son impact sur la société, la politique, la culture et l'économie. Tout au long de l'histoire, Z̤ a fait l'objet de nombreuses études, recherches et réflexions qui cherchent à comprendre son influence et son impact sur la société. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Z̤ et analyserons sa pertinence aujourd'hui.
Z tréma souscrit | |
Z̤ z̤ Z̤ z̤ |
|
Graphies | |
---|---|
Capitale | Z̤ |
Bas de casse | z̤ |
modifier ![]() |
Z̤ (minuscule : z̤), appelé Z tréma souscrit, est un graphème qui est utilisé dans plusieurs romanisation de l’écriture arabe dont celles de l’ALA-LC pour l’azéri, le persan et le sindhi, la romanisation ISO 233-3:2023 du persan ou la romanisation PCGN du kurde. Elle est composée de la lettre Z diacritée d’un tréma souscrit.
Le Z tréma souscrit était utilisé pour translittérer le ẓāʾ ‹ ﻅ › hindoustani, mais aussi parfois de l’arabe, du turc ou du persan[1].
Dans la romanisation Edmonds/PCGN System 1956 du kurde écrit avec l’alphabet arabe, ‹ z̤ › translittère la lettre ẓāʾ ‹ ظ › de certains mots d’emprunt arabes lorsque celle-ci n’est pas transcrite zāy ‹ ز ›[2].
Le Z tréma souscrit peut être représenté par les caractères Unicode suivant :
formes | représentations | chaînes de caractères |
points de code | descriptions |
---|---|---|---|---|
majuscule | Z̤ | Z◌̤ | U+005A |
lettre majuscule latine z diacritique tréma souscrit |
minuscule | z̤ | z◌̤ | U+007A |
lettre minuscule latine z diacritique tréma souscrit |