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9 février : Giulio Cesare Vanini (1585-1619), le « prince des libertins », jeune philosophe italien, est supplicié à Toulouse sur l'actuel Espace Vanini (place du Salin) pour athéisme. Il s’est réfugié clandestinement à Toulouse sous le nom de Pompeo Usciglio pour fuir les foudres de la Sorbonne à la suite de l’un de ses écrits[1].
7 mars : première guerre de la mère et du fils. Richelieu est rappelé par le roi pour régler le conflit[3]. Il quitte Avignon pour Angoulême où il arrive le 27 mars[4].
30 avril : traité d’Angoulême entre Luynes et les grands révoltés ; Marie, pardonnée par son fils, reçoit la charge du gouvernement de l’Anjou[3].
26 septembre : réunion de l’assemblée des protestants à Loudun convoquée par le roi le 23 mai (fin le )[8]. Elle demande le retrait de l’arrêt relatif au Béarn et réclame la prorogation du brevet des places de sûreté[9].
5 décembre : le comte de Fürstenberg, ambassadeur extraordinaire de l’empereur Ferdinand II, est reçu par le roi afin de solliciter un appui politique et militaire. Louis XIII assure l’empereur de son soutien moral, en recommandant l’action diplomatique. Le 25 décembre, probablement sous l’influence de son confesseur jésuite, le père Arnoux, le roi envoie un message à l’empereur qui lui assure une aide militaire française contre ses adversaires protestants[11]. Les ministres Jeannin et Brûlard de Puysieux transforment le projet militaire en médiation et envoient le duc d’Angoulême en ambassade à Ulm pour obtenir la neutralité de l’union évangélique dans le conflit de Bohême ()[12].
Notes et références
↑Marcella Leopizzi, Les sources documentaires du courant libertin français : Giulio Cesare Vanini, Presses Paris Sorbonne, , 819 p. (ISBN978-88-8229-447-2, présentation en ligne)