Dans cet article, nous explorerons l'impact que Propulsion (automobile) a eu sur différents aspects de la société actuelle. De son influence sur les relations interpersonnelles à sa pertinence dans l'économie mondiale, Propulsion (automobile) a laissé une marque significative sur le monde moderne. Grâce à l'analyse de diverses études et recherches, nous examinerons comment Propulsion (automobile) a façonné notre façon de vivre, de travailler et d'interagir avec les autres. De plus, nous réfléchirons au rôle que Propulsion (automobile) jouera dans le futur et à la manière dont sa présence continuera à réinventer et à transformer différents domaines de notre vie quotidienne.
Dans le domaine automobile, la propulsion est une architecture mécanique dans laquelle la puissance moteur est transmise, par la transmission secondaire, uniquement aux roues arrière.
Cette appellation est principalement basée sur un abus de langage puisque rien ne pousse vraiment l’arrière du véhicule pour qu'il avance[1].
Ce type de transmission a longtemps été le système majoritaire, voire unique sur les véhicules automobiles. Il présente en effet plusieurs avantages[2] :
Mais il présente également des inconvénients[2] :
La très grande majorité des véhicules de tourisme modernes est aujourd'hui constituée de "tractions", dont la conduite est réputée plus facile. La propulsion est encore fréquemment utilisée sur des véhicules puissants. Elle est également utilisée pour les camions et les voitures de course (type Formule 1).
La transmission intégrale (ou « 4 × 4 ») est une alternative à la propulsion, qui en corrige les défauts en complexifiant l'ensemble de la transmission.
La position du moteur influe sur les performances d'un véhicule à propulsion.
Les modèles de voitures particulières de haut de gamme ont souvent cette architecture, parfois avec la boîte de vitesses à l’arrière pour mieux répartir les masses. C'est le cas notamment de la majorité des modèles des marques allemandes BMW et Mercedes.
Cette configuration a été utilisée pour de nombreuses petites voitures par exemple chez Volkswagen (Coccinelle) Porsche (911, 356) et Renault (4CV, Dauphine, R8, R10, etc.). Elle permet de raccourcir la chaîne de transmission donc de gagner en masse, en évitant le tunnel. Le défaut est le « porte à faux » de l'ensemble moteur qui engendre une perte d'adhérence sur l'essieu avant lors des accélérations, et une tendance au survirage du fait de la répartition des masses majoritairement à l’arrière.
C'est la configuration la plus souvent utilisée en compétition automobile, mais aussi dans les disciplines monoplaces et de Sport-prototypes. Le moteur et la transmission sont le plus souvent positionnés le plus près possible du centre de gravité et souvent au-dessus du train arrière pour optimiser la transmission de la puissance. Cette position est souvent dénommée « centrale arrière »[3], elle est aussi utilisée dans les voitures de sport, principalement dans les roadsters (par exemple dans les modèles Porsche Boxster, Opel Speedster, etc.) où elle contribue a une meilleure répartition des masses.