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no 1 du | ||||||||
Contexte | Seconde Guerre mondiale | |||||||
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Mode de transport | Chemin de fer | |||||||
Départ | ![]() |
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Arrivée | ![]() |
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Déportés | Juifs | |||||||
· Total | 1 112 | |||||||
Survivants le 8 mai 1945 | 19 | |||||||
But de la déportation | Extermination | |||||||
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Le convoi no 1 du , surnommé « convoi 1 », est le premier convoi de déportation de Juifs de France pendant la Seconde Guerre mondiale. Parti de la gare du Bourget-Drancy, ce convoi fait une halte au camp de Royallieu (situé sur le territoire de la commune de Compiègne dans l’Oise). « Après de multiples comptages, les 565 sont conduits à la gare du Bourget-Drancy. Là, ils montent à bord des voitures de 3e classe d'un train de voyageurs. Il est 17 heures lorsque le train spécial 767 s'ébranle. Arrivé à Compiègne, il s'arrête et, dans la nuit, on fait monter 547 autres hommes. Il s'agit cette fois, en majeure partie, de juifs français arrêtés à leur domicile, à Paris, le 12 décembre 1941 - essentiellement des notables ... » . Puis les détenus sont déportés dans le camp d'extermination d'Auschwitz[1].
On trouve dans ce 1er convoi :
Après la Seconde Guerre mondiale, on compte seulement 19 survivants sur les 1 112 déportés[3].
En 1991, Pierre-Oscar Lévy réalise un documentaire, Premier Convoi, où certains survivants s'expriment[4],[5].