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Georges Wellers, né le à Koslov dans l'Empire russe et mort le à Paris, est un historien et physiologue français. Il est notamment connu pour son engagement contre le négationnisme, ainsi que pour son travail scientifique et historique.
Juif né en Russie, Georges Wellers fait des études de biologie à l'université de Moscou. Il se marie en Lettonie et arrive en France en 1929. En 1938, il devient citoyen français. Il travaille à l'Université de Paris.
Il est arrêté le [1] et est transféré dans le camp d'internement de Compiègne. il est interné ensuite à Drancy puis déporté de la gare de Bobigny vers Auschwitz, par le convoi no. 76[2], en date du , enfin le à Buchenwald.
Libéré par les Américains, il rentre à Paris. Son épouse et ses deux enfants ont survécu cachés chez des amis français[1].
Il est nommé maître de recherches en physiologie au CNRS[1]: Il travaille également comme historien de la Shoah.
Président de l’Association pour la Fondation Mémoire d’Auschwitz, responsable scientifique du Centre de documentation juive contemporaine, directeur de la revue Le Monde juif, président de la Commission historique du Mémorial du martyr juif inconnu, il est le seul témoin français appelé à déposer au procès Eichmann à Jérusalem.
Chevalier de la Légion d'honneur, en 1983 il reçoit la médaille de vermeil de la Ville de Paris à l’occasion de la cérémonie du quarantième anniversaire du Centre de documentation juive contemporaine.
Wellers fut à l’avant-garde du combat antinégationniste, en réfutant les théories de Rassinier[3], de Faurisson[4], de Roques[5],[6] et de Fred A. Leuchter[7].