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Le synode de Béziers rappelle que le droit canonique interdit rigoureusement aux chrétiens de se faire soigner par un médecin juif, prohibition qui reste généralement ignorée[2].
Par un acte qui peut être tenu pour fondateur de l'université de Sienne, l'athénée municipal de cette ville, où la médecine est déjà enseignée, reçoit de Frédéric II« une forme limitée de reconnaissance impériale[3] ».
1245 ou 1246 : parution des Vies de médecins de l'historien Ibn Abi Usaybi'a, compilation de plus de quatre cents biographies de savants, rédigée en 1242[12],[13]
Références
↑Frontispice de la Règle de saint Augustin et constitutions de l'hôpital Notre-Dame de Seclin, Cologne, vers 1470-1480. Marguerite, agenouillée devant le Christ, est entourée de saint Augustin, de Gauthier de Marvis, évêque de Tournai, du maître de l'hôpital et des sœurs augustines.
↑(en) Paul F. Grendler, The Universities of the Italian Renaissance, Baltimore, The Johns Hopkins University Press, coll. « Johns Hopkins Paperback », , 592 p. (ISBN0-8018-8055-6, lire en ligne), p. 45.
↑Jean-François Condette, « », Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest, vol. 119, no 4, , p. 145-146 (lire en ligne).
↑Jules Drivon, « Les Anciens Hôpitaux de Lyon (suite) », Lyon médical, vol. 109, , p. 640 et 682 (lire en ligne).
↑Henri Bonnemain, « Histoire de la pharmacie en Angleterre », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 54, no 188, , p. 60 (lire en ligne).
↑Ernest Langlois, « Un document relatif à Richard de Fournival », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. 10, (lire en ligne).
↑Gregor Wild, « La Genèse du cimetière médiéval urbain : L'Exemple de la topographie funéraire de Toulouse (vers 250-1350) », Archéologie du Midi médiéval, vol. 17, , p. 17, n. 74 (lire en ligne).
↑Jean Louart, « L'Hôpital Notre-Dame de Seclin », Revue du Nord, vol. 36, no 141, , p. 37 (lire en ligne).
↑Léon Le Grand, « Les Maisons-Dieu : Leurs statuts au XIIIe siècle », Revue des questions historiques, vol. 31, t. 16 de la nouvelle série (60e de la collection), , p. 123, n. 3 (lire en ligne).
↑Ibn Abi Usaybi'a (trad. Beniamino Raffaelo Sanguinetti), de l'ouvrage arabe d'Ibn Aby Ossaïbi'ah sur l'histoire des médecins : Traduction française, accompagnée de notes, Paris, Impr. impériale, , 62 et 37 p., 2 vol., in-8° (BNF30632295) (lire en ligne le premier et le deuxième extraits).
↑(en) George Sarton, Introduction to the History of Science, vol. 2 : From Rabbi Ben Ezra to Roger Bacon, Baltimore, Wilkins and Wilkins, , p. 685.