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Fondations
Première mention de l'hôtel Saint-Ladre d'Orléans, dans une charte où le roi Louis VI le Gros cède aux lépreux de la ville ses droits sur l'église de Chécy[1].
1112[2],[3] ou [4] : fondation de l'ordre de Saint-Lazare, hospitaliers voués à l'accueil et aux soins des pèlerins atteints de la lèpre, dont la première mention ne remonte cependant qu'à [5].
1112- : la confrérie des bourgeois d'Angers fonde la léproserie Saint-Lazare, sans doute réservée aux hommes, et destinée à recevoir dix à douze résidents[6].
Publication
Un peu avant 1112 : Abu al-Salt(en) (-) rédige « un « traité sur les simples » dans la tradition galénique et arabo-musulmane[7] ».
1112- : fl. Gaucelin, médecin, qualifié de « megeicharius » (« médicamentaire »), cité dans des chartes de l'abbaye Saint-Jean-en-Vallée de Chartres[8].
Entre 1112 et : Ibn al-Jawzi (mort en 1200 ou 1201), savant et polygraphe irakien, auteur d'ouvrages sur la médecine, dont le Manafi etthobb (« Utilités de la médecine[12] »).
Références
↑Léon Le Grand, « Eugène Jarry, Notes et documents sur la maladrerie (hôtel Saint-Ladre) d'Orléans (extrait du tome 25 des Mémoires de la Société archéologique et historique de l'Orléanais), Orléans, impr. Paul Pigelet, , 72 p., in 8o », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 81, , p. 342 (lire en ligne).
↑Étienne Dambreville, Abrégé chronologique de l'histoire des ordres de chevalerie, Paris, chez Hacquart, , 388 p. (lire en ligne), p. 27.
↑(en) David Marcombe, Leper Knights : The Order of St. Lazarus of Jerusalem in England, c.1150-1544, Woodbridge, The Boydell Press, , 320 p. (ISBN0-85115-893-5, lire en ligne), p. 7.
↑Joëlle Ricordel, « Un traité des simples du XIe siècle traduit par Arnaud de Villeneuve », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 88, no 326, , p. 297 (lire en ligne).
↑ a et bErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 1, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/1), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04664-0, lire en ligne), « Gautier », p. 169 et « Gaucelin », p. 168.
↑(en) Frances Garrett, « Buddhism and the Historicising of Medicine in Thirteenth-Century Tibet », Asian Medicine, vol. 2, no 2, , p. 205 (lire en ligne).
↑« Gʹyu-thog Yon-tan-mgon-po, 1126-1202 », Library of Congress, [lire en ligne].
↑Lucien Leclerc, Histoire de la médecine arabe, t. 2, New York, Burt Franklin, coll. « Research and Source Works » (no 18), 528 p. (lire en ligne), p. 36-37.