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Fondation par Louis II, comte de Provence, de l'université d'Aix[3], dont la faculté de médecine, officiellement fondée en 1413, ne fonctionnera cependant qu'à partir de 1557[4].
Un rapport, dressé à la demande de conseillers du parlement de Paris par Jacques Saquespée, médecin, et par Jehan de Troyes et Gilet Desoubzlefour, chirurgiens jurés du roi, établit l'état de « faiblesse » et de « mélancolie » d'un homme emprisonné à la grange Saint-Éloi[6].
À la demande des consuls d'Aigues-Mortes, le roi Charles VI abroge l'exemption du péage de la tour Carbonnière dont les médecins ont profité jusqu'alors avec les habitants du lieu, les officiers du roi, les membres de la noblesse et les gens d'Église[7].
Naissance
1er janvier : Giovanni Antonio da Faye(it)[8] (mort en 1470), apothicaire toscan, auteur d'une autobiographie et d'une chronique qui ont fait l'objet de plusieurs études historiques ou linguistiques, depuis leur publication en 1904 et 1874[9].
Décès
Pierre de La Gelade (né à une date inconnue), médecin de la ville de Riom en Auvergne[10].
Personnalités
1408-1409 : fl. Barthélemy[11] et Nicolas de Sales[10], respectivement médecin et barbier à Marseille, examinateurs des personnes suspectes de lèpre.
Indrek Hargla (trad. de l'estonien par Jean-Pascal Ollivry), Melchior l'Apothicaire, livre 1 : L'Énigme de Saint-Olav , Arles, Actes Sud, coll. « Babel noir » (no 109), , 432 p. (ISBN978-2-330-03063-6).
— C'est en 1409 que l'auteur situe l'intrigue de ce roman policier historique estonien, premier d'une série dont le personnage éponyme est un apothicaire de Tallinn[13].
Références
↑(es) Juan José López Ibor(es), « La fundación en Valencia del primer hospital psiquiátrico del mundo », Actas Españolas de Psiquiatría, vol. 36, no 1, , p. 1-9 (lire en ligne).
↑(ca) Melcior Miralles et Mateu Rodrigo Lizondo (éd.), Crònica i dietari del capellà d'Alfons el Magnànim, Valence, Universitat de València, coll. « Fonts històriques valencianes », , 548 p. (ISBN978-84-370-8296-7, lire en ligne), p. 158.
↑Victor-Louis Bourrilly, « Ferdinand Belin, Histoire de l'ancienne université de Provence, ou Histoire de la fameuse université d'Aix, d'après les manuscrits et les documents religieux. Première période (1409-1679). Deuxième période, 1re partie (1679-1730), Paris, Picard, 1896 et 1905 », Revue d'histoire moderne et contemporaine, vol. 7, no 9, , p. 698 (lire en ligne).
↑Frédéric Rimattei, « Bref historique de la faculté de médecine et de pharmacie de Marseille », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 41, no 137, , p. 66 (lire en ligne).
↑(en) « Medicine and Life Science in Leipzig », sur le site du Congress Center Leipzig, s. d. [lire en ligne (page consultée le 17 janvier 2018)].
↑Laurent Garrigues, « Les Professions médicales à Paris au début du XVe siècle : Praticiens en procès au parlement », Bibliothèque de l’École des chartes, vol. 156, no 1, , p. 321 (lire en ligne).
↑« La Tour Carbonnière », Office de Tourisme d'Aigues-Mortes en Camargue [lire en ligne (page consultée le 23 septembre 2017)].
↑« Giovanni Antonio Da Faie (1409-1470) », BNF15039591.
↑(it) Giovanni Antonio Faie et Giovanni Sforza (éd.), « Autobiografia inedita », Archivio storico per le provincie parmensi, Parme, vol. 4, nouvelle série (1904), , p. 129-183 (lire en ligne).
↑ a et bErnest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol. 2, Genève, Droz, coll. « Hautes études médiévales et modernes » (no 34/2), (1re éd. 1936) (ISBN978-2-600-04716-6, lire en ligne), « Pierre de La Gelade », p. 642, « Nicolas de Sales », p. 577.