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Cet article présente les faits marquants de l'année 1208 en santé et médecine.
Fondations
Hôtel-Dieu de Gonesse rue Pierre-de-Theillay remplace l'ancien hôpital en 1839
20 janvier : l'hôpital de Séez en Normandie est cité pour la première fois, dans une bulle du pape Innocent III, et comme ayant été fondé par les époux Guillaume et Macée Bérard, bourgeois de la ville toujours vivants[1].
Fondation à Paris, par les époux Étienne et Ada Belot, bourgeois de la ville, de l'Hôpital des pauvres écoliers, dit par la suite collège des Bons-Enfants et réservé à l'origine à treize étudiants indigents et qui devaient mendier leur pain[6].
Fondation par Pierre de Theilley de la maison-Dieu de Gonesse[7].
Un mandement de l'évêque de Paris distingue dans l'université de cette ville les médecins (« phisici ») des théologiens, des décrétistes et des artistes[9].
Le roi Philippe Auguste donne à l'Hôtel-Dieu de Paris, « pour servir au coucher des pauvres, les jonchées qui lieu de tapis dans son palais[10] ».
Des mesures sont prises à la léproserie du Grand-Beaulieu, à Chartres, pour « entraver par les vêtements ou la nourriture » la propagation d'une maladie dont « le caractère infectieux est sans doute mieux ressenti au XIIIe siècle[11] ».
↑Constance de Courrèges d'Agnos et Alexis Charansonnet (dir.), Saint Dominique et les Dominicains dans les sermons du cardinal Eudes de Châteauroux (1190?-1273) (I) (mémoire de master 1 en sciences humaines et sociales de l'université de Lyon), , 178 p. (lire en ligne), p. 67.
↑Gabriel Peignot, Dictionnaire raisonné de bibliologie contenant l'explication des termes , t. 2, Paris, chez Villier, an xi – 1802, 456 p. (lire en ligne), p. 442.
↑(es) Carlos Divar, « Los origines de la Universidad en Espana : El Studium Generale de Palencia (siglos XII y XIII) », Boletín de la Asociación Internacional de Derecho Cooperativo, Bilbao, no 42, , p. 187-194 (ISSN1134-993X, lire en ligne).
↑Félix Pascal, « Observations faites dans le département des hôpitaux civils, no 11 : Topographie de la ville et de l'hôpital de Brie-Comte-Robert », Journal de médecine, chirurgie, pharmacie, etc., no 69, , p. 198 (lire en ligne).
↑Félix Lazare et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, Paris, Félix Lazare, , 702 p. (lire en ligne), p. 196, col. 1.
↑« Centre hospitalier (Gonesse, Val-d'Oise) », BNF34421364.
↑« Ordre souverain, militaire et hospitalier de Saint-Jean-de-Jérusalem, de Rhodes et de Malte. Commanderie Saint-Rémy de Verruyes », BNF12415876.
↑Armand Husson, Étude sur les hôpitaux, considérés sous le rapport de leur construction, de la distribution de leurs bâtiments, de l'ameublement, de l'hygiène et du service des salles de malades, Paris, Paul Dupont, , 608-XVIII p. (lire en ligne), p. 509.
↑François-Olivier Touati, « Une approche de la maladie et du phénomène hospitalier aux XIIe et XIIIe siècles : La Léproserie du Grand-Beaulieu à Chartres », Histoire des sciences médiales, vol. 14, no 4, , p. 420 (lire en ligne).
↑Danielle Jacquart, « Ibn an-Nafîs : Premier découvreur de la circulation pulmonaire », La Revue du praticien, vol. 57, , p. 111 (lire en ligne).
↑(en) John B. West, « Ibn al-Nafis, the Pulmonary Circulation, and the Islamic Golden Age », Journal of Applied Physiology, vol. 105, no 6, , p. 1877-1880 (lire en ligne).