Dans le monde d'aujourd'hui, Jacques Duquesne (écrivain) est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, Jacques Duquesne (écrivain) a acquis une importance qui transcende les frontières et est devenu un sujet de discussion et de débat dans divers domaines. De la politique à la culture populaire, Jacques Duquesne (écrivain) a marqué la société contemporaine, générant des opinions contradictoires et des réflexions profondes. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Jacques Duquesne (écrivain), en analysant son impact dans différentes sphères et en réfléchissant à son influence sur notre vie quotidienne.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Jacques Henri Louis Duquesne |
Nationalité | |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Distinctions |
Jacques Duquesne, né le à Dunkerque et mort le à Paris[1], est un journaliste et écrivain français.
Né à Dunkerque en 1930, Jacques Duquesne est marqué par la bataille livrée en mai-[2], autour de la ville et du port, lors de l'évacuation du Corps expéditionnaire britannique, bataille qu'il a plusieurs fois évoquée dans ses livres.
Il étudie à l'Institut d'études politiques de Paris et s'engage au sein de la Jeunesse étudiante chrétienne (JEC)[2]. Secrétaire général de l'Association catholique de la jeunesse française en 1954, il est élu président du Conseil de la Jeunesse de l'Union française en , ce qui l'amène à beaucoup voyager dans les anciennes colonies d'Afrique.
Il travaille d'abord à La Croix comme grand reporter (1957-1964)[2], il débarque en Algérie pour ses premiers reportages juste après la fameuse bataille d'Alger. Il publie des articles pour dénoncer la torture en Algérie[3]. Il collabore ensuite à Panorama chrétien (1964-1970) et à L'Express (1967-1971). En 1972, il participe à la fondation du magazine Le Point, avant d'en devenir le rédacteur en chef (1974-1977). Il devient ensuite directeur général du groupe des publications de La Vie (1977-1979)[2].
Il sert en 1987 de caution journalistique au groupe Bouygues lors de la privatisation de TF1[4].
Il retourne au Point, dont il devient le président-directeur général (1985-1990). Finalement, en 1997, il prend le poste de président du conseil de surveillance de L'Express[2]. Il préside l'Association pour le soutien des principes de la démocratie humaniste, qui chapeaute l'ensemble du groupe Sipa - Ouest-France.
Il compte à son actif plusieurs romans et de nombreux essais, certains sur des thèmes religieux.
Il a été président du Bateau Feu, scène nationale de Dunkerque, de 1991 à 2016.
En 2004, dans un essai, il s'est opposé à une éventuelle définition dogmatique de Marie corédemptrice, suivant en cela la position du concile Vatican II[5].
Il meurt le à l'âge de 93 ans dans son appartement parisien[6]. Il est inhumé le au cimetière du Montparnasse (division 3)[7] à Paris, après des obsèques célébrées à l'église Saint-Séverin.