Liverdun

Liverdun
Liverdun
La Moselle vue depuis la ville haute.
Blason de Liverdun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du Bassin de Pompey
Maire
Mandat
Sébastien Dosé
2020-2026
Code postal 54460
Code commune 54318
Démographie
Gentilé Liverdunois(es)
Population
municipale
5 694 hab. (2021 en diminution de 5,62 % par rapport à 2015)
Densité 226 hab./km2
Population
agglomération
286 041 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 04″ nord, 6° 03′ 45″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 340 m
Superficie 25,25 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nancy
(banlieue)
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France Liverdun
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle Liverdun
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est Liverdun
Liens
Site web www.liverdun.com

Liverdun est une commune française de l'agglomération de Nancy située dans le département de Meurthe-et-Moselle (54) et la région Grand Est.

Géographie

Liverdun (ban communal) - Fig. 1. Communes limitrophes de Liverdun
Rosières-en-Haye Saizerais Pompey
Jaillon Liverdun Frouard
Villey-Saint-Étienne Aingeray Champigneulles

Localisation

Liverdun est située entre Nancy, Pont-à-Mousson et Toul.

Le village médiéval surplombe les boucles de la Moselle, paysage remarquable et protégé en tant que Logo des sites naturels français Site inscrit (1967).

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 2 527 hectares comprend en 2011, seulement moins de 10 % de terres arables et de prairies, près de 64  % de forêt, 5 % de surfaces en eau et 11  % de zones industrielles et urbanisées.

Le territoire est arrosé par la Moselle et sa canalisation.

La commune est desservie par la route départementale no 90 mais les chroniques historiques et répertoires archéologiques signalent d'ancien chemins allant vers Jaillon à l'ouest, vers Marbache au nord-ouest et vers Champigneulles au sud.

Communes limitrophes

Onze communes ont une limite commune avec Liverdun. En partant du nord et dans le sens des aiguilles d'une montre, ces communes sont Saizerais, Marbache, Pompey, Frouard, Champigneulles, Velaine-en-Haye, Sexey-les-Bois, Aingeray, Villey-Saint-Étienne, Jaillon et Rosières-en-Haye.

Voies de communication et transports

Réseau ferroviaire

La gare de Liverdun se trouve sur la ligne Paris - Strasbourg et est desservie par la ligne T.E.R Métrolor numéro 29 : Nancy - Bar-le-Duc - Paris et la ligne numéro 07 : Nancy - Toul - Neufchâteau.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 14 km à vol d'oiseau, est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le 24 juillet 2019; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le 21 février 1956,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Urbanisme

Typologie

Liverdun est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants,.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,6 %), zones urbanisées (11,5 %), terres arables (10,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), eaux continentales (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Résidence Toulaire

Vue aérienne de Toulair.

Le lotissement Toulaire est un ensemble de 318 pavillons situé au nord de la commune, sur le plateau.

En 1957, l’armée américaine, qui occupait la base aérienne 136 Toul-Rosières (distante de seulement quelques kilomètres de la commune de Liverdun et fermée en 2004), a fait construire cette résidence pour y loger son personnel d’encadrement. Le nom Toulaire correspond du reste à la contraction de « Toul air base ».

Après le départ des soldats en 1966, l’ensemble immobilier a été mis en vente au début des années 1970.

La conception à l'américaine des constructions, tant dans leur aspect extérieur (grandes maisons de plain pied), que dans l’aménagement intérieur (grandes baies vitrées, cuisines intégrées, chauffage au sol, etc.), mais également la situation à proximité de la forêt et la végétation diversifiée et très présente (conifères, peupliers…) dans la résidence, confère à Toulaire une apparence exotique.

Toponymie

Attestations anciennes

Le nom de la localité est attesté sous les formes Liberdunum en 894 / 984 ; Burgum de Liverduno en 1108-1127 ; Leverdun en 1274 ; Luverdun en 1334 ; Luverdunum en 1402 ; Leverdung en 1500 ; Lubverdun en 1542 ;Luverdhung en 1550 ;Liverdung en 1551 ; Luverdung en 1571.

Etymologie

Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -dunum (comprendre gaulois dunon) « forteresse » puis « colline, mont » ; Liverdun est effectivement située sur une hauteur dominant la Moselle. Le premier élément Liver (< Liber-) est plus obscur, peut-être du nom de personne latin Liber.

Histoire

Gravure de Liverdun en 1838.

Préhistoire et antiquité

Même si les traces archéologiques les plus anciennes sont aujourd'hui enfouies sous les murs et les rues de la vieille ville (tout comme à Toul), la présence humaine sur le ban communal de Liverdun est soupçonnée ou attestée en de multiples lieux (Bois de Natrou, lieu-dit la Garenne, Ru(pt) Chaudron) à différentes époques.(Age du fer, époque romaine et Moyen Âge)

H. Lepage cite notamment la découverte, au lieu-dit Châtillon ou Chatrons, d'un tumulus et de tombes mérovingiennes dont un sépulcre a été donné au musée lorrain de Nancy

Moyen Âge

Le premier acte authentique confirme une donation de la ville par Othon 1er à l’évêché de Toul en 960. L'historien esquisse une histoire rapide de la commune à partir de la reprise du site castral : « Au XIIe siècle, le château, qui existait déjà et qui se trouvait alors bâti à l'extrémité nord de la ville, était abandonné et en ruines depuis longtemps même, il servait de retraite aux bandits qui désolaient la province. L'évêque de Toul, Pierre de Brixey, voulant remédier à cet état de choses, rétablit la forteresse et l'agrandit en bâtissant au sud du château, une enceinte nouvelle comprenant tout le petit plateau bordé d'escarpements. », qui se conclut par la destruction du château en 1467 et il précise :« La forteresse, à la suite de ce désastre, ne fut point relevée, quoique, dans la suite, Louis XIII eut donné l'ordre de la rebâtir; mais on n'a ni réparé, ni entretenu les importants débris du Moyen Âge restés debout. » Liverdun a été la résidence d'été des évêques de Toul.

Époque moderne

Base nautique en 1936.

Par le Traité de Liverdun (26 juin 1632) Nancy, capitale du duché de Lorraine, est menacée directement par les Français ; le duc Charles IV doit signer de nouveau un traité, traité de Saint-Germain-en-Laye (1641) avec le roi Louis XIII. Ce dernier rend les principales places occupées mais le duc doit céder au roi, pour quatre ans, les villes de Stenay, Dun-sur-Meuse, Jametz et Clermont-en-Argonne, cette dernière étant donnée définitivement à la France en échange d'une indemnité. D'autre part, Charles IV promet de rendre hommage au roi pour le duché de Bar d'ici à un an. Le traité de Ryswick donne définitivement la Lorraine au royaume français.

Après la construction de la voie de chemin de fer Paris-Strasbourg inaugurée le 17 juin 1852 en même temps que le canal de la Marne au Rhin, Liverdun devient le lieu touristique par excellence pour les Nancéiens. On la surnomme alors le petit Deauville.

Lors de l'incendie du château Corbin, le 8 septembre 1904, le lieutenant des pompiers Charles Nicolas Frustin dirige les opérations afin de limiter l'incendie dans un périmètre restreint vu la proximité des proches habitations.

Les forges et la fabrique de dynamite

En 1868, Alfred Nobel en quête de capitaux et de débouchés recherche un partenaire industriel et financier. Il trouve la société Barbe, père, fils et Cie, maîtres de forges à Liverdun (à l'époque département de la Meurthe). Paul François Barbe (1836-1890), investit 200 000 francs dans le capital de la société Nobel sous réserves d'obtenir les autorisations nécessaires pour fabriquer dès l'automne 1871 de la dynamite pour la région Alsace-Lorraine et l'exporter vers la Belgique. La fabrique de dynamite avait été installée par MM. Barbe et Smitt dans trois logements vides des cités de la Croisette. Par la suite Monsieur Barbe délocalise le site de Liverdun pour créer une dynamiterie en Espagne à Galdácano dans une ancienne de poudrerie et en confie la direction à Monsieur Combermale, ancien sous-directeur de de la dynamiterie de Paulilles. Cette usine est mise service avec du personnel de la fabrique de Liverdun dont Auguste Marchal (directeur du site de Liverdun puis à Galdácano jusqu'en 1904, époux de Marie-Thérèse Barbe) et Joseph Emile Depardieu, ce dernier restera en Espagne et fonda une famille. Les forges de Liverdun ont été rachetées en 1881 par moitié par les maîtres de forges de Pompey et le reste par la Société anonyme des forges de Champigneulles créée pour la circonstance.

La place de la Fontaine.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Article connexe : Élections municipales de 2014 en Meurthe-et-Moselle. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Maires avant 1945
Période Identité Étiquette Qualité
         
1789 1791 Nicolas Colin    
1791 1793 François Haouy    
1794 1795 Daniel François    
1795 1797 Christophe Mory    
1798 1799 Claude Daunot    
1800 1801 François Pierson    
1801 1808 Antoine Lienard    
1808 1820 Nicolas Pierson    
1821 1830 Claude Colin    
1830 1841 françois Nicolas    
1841 1848 Joseph Crabouillet    
1848 1861 Joseph Pierson    
1861 1871 Jean Martin    
1871 1874 Gustave de Men    
1874 1878 Jean-Baptiste Barbe   Maître de forge
1888 1884 Christophe Daunot    
1884 1888 Prospère Charlemagne    
1888 1892 Christophe Daunot    
1892 1900 Aimé Laurent    
1900 1902 Nicolas Noel   Fabricant de pompes
1902 1908 Aimé Laurent    
1908 1912 Camille Noel    
1912 1922 Louis Jacob    
1922 1929 Auguste Gabriel    
1929 1940 Georges Sognet    
1942 1944 Edouard Monchablon   Cultivateur
1944 1945 Georges Sognet    
 
1945 1947 Gaston Bourgeois   Forgeron
1947 1959 Emile Zumstein    
1959 1969
(démission)
Robert Bornert   Ingénieur agronome
1969 mars 1989 Armand Remy UDF Conseiller général du canton de Domèvre-en-Haye (1982-1994)
mars 1989 mars 1992 Ghislaine Millard-Lagrandeur PS Enseignante
mars 1992 juin 1995 Armand Remy UDF Conseiller général du canton de Domèvre-en-Haye (1982-1994)
juin 1995 août 2007 Didier Bianchi PS Directeur de banque
octobre 2007 mai 2020 Jean-Pierre Huet   Retraité de profession libérale
mai 2020 En cours Sébastien Dosé, DVG Professeur, profession scientifique
Les données manquantes sont à compléter.

Entre 1941 et 1945 pendant l'occupation des maires ont été nommés par la préfecture. D'après les comptes rendus des conseils municipaux, on trouve Charles Millot jusqu’à sa démission le 27 novembre 1943 puis Édouard Monchablon jusqu'au 21 avril 1944 ou Georges Sognet (SFIO) est rétabli maire pour organiser les prochaines élections.

L'entrée du château Corbin.

Par arrêté préfectoral de la préfecture de la région Grand-Est en date du 9 décembre 2022, la commune de Liverdun a intégré l'arrondissement de Nancy au 1er janvier 2023.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.

En 2021, la commune comptait 5 694 habitants, en diminution de 5,62 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0079339779079659151 0651 1102 000
Évolution de la population  , suite (1)
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0691 1391 5001 9201 4111 4101 7141 6361 826
Évolution de la population  , suite (2)
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 6221 6501 8471 9751 9432 2601 9012 4404 022
Évolution de la population  , suite (3)
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
3 8765 0356 1106 4356 3905 9755 9116 0036 033
Évolution de la population  , suite (4)
2020 2021 - - - - - - -
5 7495 694-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.) Histogramme de l'évolution démographique

Liverdun fait partie des 3100 pôles urbains de France.

Liverdun appartient à l'unité urbaine, l'aire urbaine, la zone d'emploi et le bassin de vie de Nancy.

Cependant, Liverdun ne fait pas partie de la communauté urbaine du Grand Nancy, qui compte, en 2016, 256 610 habitants.

Économie

E. Grosse indique dans son ouvrage, vers 1836 : « Territ. : 1813 hect., dont 1473 en forêts, 280 en terres arables, 3o en prés et 20 en pâtis, jardins, etc. » Le village a donc eu une tradition agricole.

Liverdun est connue pour ses « Madeleines de Liverdun », de la biscuiterie Chenel qui a été reprise en février 2015 par Vincent Ferry de l'entreprise meusienne "Clair de Lorraine" située à Void Vacon qui commercialise les produits du terroir.

Un camping de près de 200 emplacements situé dans le lit de la Moselle engendre la fréquentation de nombreux étrangers nord-européens en transit et de d'habitants des communes alentour qui y déposent leurs caravanes pour les beaux jours.

La boucle de la Moselle est fréquentée par de nombreux visiteurs du dimanche à la recherche de loisirs au bord de l'eau.

Un office de tourisme sert de relais d'information pour toute l'intercommunalité du Bassin de Pompey (communauté de communes du Bassin de Pompey). Depuis 2014, la CCBP ayant repris la compétence tourisme, l'Office s'intitule maintenant Accueil Touristique du Bassin de Pompey.

Secteur primaire ou Agriculture

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste), la commune de Liverdun était majoritairement orientée sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée d'environ 105 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en légère augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 116 à 92 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 4 (4 en 1988) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 8 unités de travail. (4 auparavant).

Secteur secondaire ou Industrie

Entrée de l'usine des Pompes Noël. Wagonnet sur la D90. Réhabilitation de l'ancienne usine Lerebourg.

Entreprises Locales

Culture locale et patrimoine

Les madeleines

Rue de la gare à Liverdun.

Liverdun est surtout connue pour ses "Véritables madeleines de Liverdun" produites dans le village depuis 1870. La recette de ces fameuses pâtisseries a subi plusieurs modifications mais a toujours été gardée secrète. Le 24 février 2015, lors du salon de l'agriculture, la fabrique de madeleines Chenel est rachetée par la société Clair de Lorraine.

Lieux et monuments

Édifices civils La maison du gouverneur pendant les Fêtes médiévales de 2023 à Liverdun. La maison canoniale rue st-Pierre pendant les Fêtes médiévales de 2023 à Liverdun.
  1. la maison appelée Maison Benoît du nom de son propriétaire au moment de la protection en 1926, au 4 rue de l'église, ayant une niche avec la statue de la Vierge encastrée dans la façade également inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 5 septembre 1932.
  2. la maison dite Maison Roger du XVIe siècle, 6 rue de l'église, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 3 avril 1926.
  3. la maison dite Maison Fransot, place de la Fontaine, dont la façade est également inscrite par arrêté du 3 avril 1926.
  4. la maison dite Maison Renard, place de la Fontaine, dont la façade est également inscrite au patrimoine architectural par arrêté du 3 avril 1926.
  5. la maison dite Maison Weisberger, place de la Fontaine, dont la façade est aussi inscrite au patrimoine architectural par arrêté du 3 avril 1926.
Édifices religieux

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Article connexe : Armorial des communes de Meurthe-et-Moselle.
Blason de Liverdun Blason D'argent à la branche de chêne de sinople, posée en pal, englantée de gueules.
Détails Ces armoiries se trouvent sur un registre d'inventaire des archives de la ville et chastellenie de Liverdun, prévôté seigneuriale dépendante de l'évêché et comté de Toul. En effet, Liverdun était une des premières places fortes du domaine de l'évêque de Toul : La porte inexpugnable de tout leur évêché ainsi qu'il est dit dans la charte de 1186.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Honneur

L'astéroïde (N°18637) à Liverdun, découvert en 1998, a été ainsi baptisé en l'honneur de la commune.

Faune et flore

La commune, riche en biodiversité, est l'hôte de plusieurs espèces menacées à l'échelle régionale, nationale, voire mondiale.

Faune menacée

On retrouve à Liverdun les espèces animales menacées suivantes (seules les données postérieures à 2000 sont prises en compte):

Anguille d'Europe (Anguilla anguilla). Liste rouge Monde Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis). Liste rouge Europe Liste rouge France

Flore menacée

On retrouve à Liverdun les espèces végétales menacées ou quasi menacées suivantes (seules les données postérieures à 2000 sont prises en compte) :

Séneçon des cours d'eau (Senecio sarracenicus). Liste rouge France Liste rouge Lorraine

Aires protégées

On retrouve sur le territoire de la commune quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), abritant des espèces rares, protégées, ou patrimoniales. Seules les espèces dont des observations ont été faites postérieurement à l'année 2000 sont listées ici.

Pelouse calcaire du Saut du Cerf, en août 2020. Pelouses du Saut du Cerf

Située sur un coteau sec surplombant la vallée de la Moselle, à l'ouest de la commune, cette ZNIEFF de 7,75 hectares, remarquable par ses pelouses calcaires, abrite de nombreuses espèces protégées ou peu communes.

Espèces déterminantes

Les espèces déterminantes sont celles qui justifient le classement et la protection du Saut du Cerf en tant que ZNIEFF, elles sont au nombre de 23 (22 si sources postèrieures à 2000).

Parmi elles, on retrouve plusieurs espèces de reptiles comme la Vipère aspic (Vipera aspis), la Coronelle lisse (Coronella austriaca), la Couleuvre Couleuvre à collier (Natrix natrix), et l'Orvet fragile (Anguis fragilis).

Les pelouses du Saut du Cerf sont également riches en lépidoptères (papillons) comme l'Hespérie du Brome (Carterocephalus palaemon), l'Eupithécie distinguée (Eupithecia insigniata), le Flambé (Iphiclides podalirius), l'Ophiuse de la Vesce (Lygephila viciae), l'Azuré bleu-céleste (Lysandra bellargus), la Mélitée du plantain (Melitaea cinxia), la Mélitée orangée (Melitaea didyma), la Mélitée des centaurées (Melitaea phoebe), l'Azuré des coronilles (Plebeius argyrognomon), le Thécla de l'amarel (Satyrium acaciae), et le Thécla du prunier (Satyrium pruni).

Panorama de la flore du Saut du Cerf. Au premier plan, pelouse calcaire avec population d'Euphraise jaune (Odontites luteus). Au second plan, pierrier calcaire avec population de Galéopsis à feuilles étroites (Galeopsis angustifolia).

On y trouve également des espèces d'orthoptères déterminantes comme le Criquet des genévriers (Euthystira brachyptera) et la Decticelle grisâtre (Plactycleis albopunctata).

Enfin, la flore y est également remarquable puisqu'on y trouve l'Aster amelle (Aster amellus), la Laîche de Haller (Carex halleriana), la Saxifrage granulée (Saxifraga granulata), et le Chêne pubescent (Quercus pubescens).

Autres espèces remarquables

On trouve dans les pelouses du Saut du Cerf, entre autres, de nombreuses espèces végétales peu ou assez peu répandues en Lorraine comme l'Euphraise jaune (Odontites luteus), le Galéopsis à feuilles étroites (Galeopsis angustifolia), l'Orpin blanc (Sedum album), le Mélampyre des champs (Melampyrum arvense), l'Orobanche du thym (Orobanche alba), la Polygale du calcaire (Polygala calcarea), la Globulaire allongée (Globularia bisnagarica), l'Anémone pulsatille (Anemone pulsatilla), ainsi que plusieurs espèces d'orchidées comme l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum) et l'Orchis pourpre (Orchis purpurea),.

Forêt de Chênot-Hazotte

Située sur les hauteurs de la route de Pompey, et d'une surface de 99,61 ha, la ZNIEFF de la forêt de Chênot-Hazotte est partagée entre Pompey et Liverdun. Ainsi, seul un cinquième de sa surface environ est située sur le territoire de la commune. De fait, il est possible que les espèces listées ci-dessous ne soient pas localisées directement à Liverdun, mais dans un écosystème situé en partie sur son territoire.

Espèces déterminantes

Les espèces déterminantes sont celles qui justifient le classement et la protection de la forêt de Chênot-Hazotte en tant que zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Elles sont au nombre de 19.

Parmi elles, on retrouve de très nombreuses espèces de chiroptères (chauve-souris), comme la Sérotine commune (Eptesicus serotinus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Brandt (Myotis brandtii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Grand murin (Myotis myotis), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), et la Pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus).

On y trouve également six espèces déterminantes d'oiseaux: le Grimpereau des bois (Certhia familiaris), le Pic mar (Dendrocops medius), le Pic noir (Dryocopus martius), le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus), le Pouillot siffleur (Phylloscopus sibilatrix), et le Bouvreuil pivoine (Pyrrhula pyrrhula).

Enfin, trois espèces de plantes sont recensées, qui sont l'Amélanchier à feuilles ovales (Amelanchier ovalis), la Laîche de Haller (Carex halleriana), et le Chêne pubescent (Quercus pubescens).

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les records sont établis sur la période du 1er septembre 1927 au 4 janvier 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le 14 novembre 2020 en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en octobre 2020, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes

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