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Consonne fricative dentale sourde | ||
Symbole API | θ | |
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Numéro API | 130 | |
Unicode | U+03B8 | |
X-SAMPA | T |
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Kirshenbaum | T |
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La consonne fricative dentale sourde est un son consonantique assez peu fréquent dans les langues parlées. Le symbole dans l’alphabet phonétique international est . Ce symbole est celui de la lettre grecque thêta, qui se réfère au même son, en grec moderne du moins.
Voici les caractéristiques de la consonne fricative dentale sourde :
C'est une consonne à part entière de l'alphabet adopté par l'Union romani internationale en 1990.
Le français ne possède pas ce son. Beaucoup de locuteurs le remplacent dans les mots d'autres langues par un , un ou un .
L'arabe possède ce son, qui correspond à la lettre tha (ث), selon les pays ou les régions, de manière plus ou moins emphatique.
L'arpitan possède ce son, qui s'écrit ch pour des raisons étymologiques.
L'anglais possède ce son, qui s'écrit th, mais dans certains mots, ce digramme se prononce . Le son est, par exemple, présent dans thing ou nothing. En vieil anglais, ce son s'écrivait avec la lettre edh ‹ ð › ou avec la lettre thorn ‹ þ ›, qui représentait aussi le son .
Le breton utilise la graphie ‹ zh ›, qui renvoie très majoritairement à un ancien , qui s'est graduellement transformé en dans l'ouest et le nord du domaine bretonnant et en ou en dans l'est.
L'espagnol utilise la lettre z (c devant i et e). L'évolution du son provient d'un originel. L'espagnol d'Amérique latine et des autres zones de seseo ne possèdent pas ce son ; z et c sont alors prononcés . Au contraire, dans les zones de ceceo (dans certaines zones d'Andalousie), l'opposition entre et disparaît, et les deux confondues en un seul phonème dont la réalisation est proche du des autres zones hispanophones de l'Espagne.
L'islandais a conservé la lettre þ pour écrire ce son. L'albanais et le gallois utilisent th, et le same du nord utilise ŧ.
Le grec moderne possède ce son, qui s'écrit avec la lettre thêta (θ, Θ).
Le swahili possède ce son, qui s'écrit th.