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En français, seules les voyelles a, e et u peuvent porter l’accent grave[1].
L'accent grave modifie la prononciation du a dans certains cas. Dans d'autres cas, il sert à distinguer des homonymes. Les différences phonétiques peuvent être plus ou moins marquées selon les différents dialectes du français.
L’accent grave ne modifie pas la prononciation du u. Il est utilisé uniquement dans le pronom interrogatif ou relatif « où » pour le distinguer de la conjonction de coordination « ou »[2]. Cette lettre apparait néanmoins dans plusieurs mots d'origine étrangère, tels que « bagadoù », « siù », « xârâcùù ».
L’accent grave indique la prononciation d’un e ouvert /ɛ/.
Dans cette position, l’e accent grave est exceptionnel : ère, ès. On le rencontre aussi dans quelques noms propres : Èbre, Ève, Èques, Èvre, Èvres, Èze.
La lettre e y reçoit généralement un accent grave lorsque, tout à la fois :
Remplissent, par exemple, ces conditions : hère, thème, fièvre, avènement, brèche, règle.
Lors de la formation d’un dérivé dans lequel l’e accent grave n’est plus suivi d'un e caduc, la lettre e reçoit un accent aigu :
Le Conseil supérieur de la langue française a proposé en 1990 une régularisation de l’accent sur les mots de la liste suivante[4] :
Exceptions. — Médecin, médecine ; mots composés avec les préfixes « dé » et « pré » : dépecer, déceler, prévenir, etc.[5].
De même, la conjugaison des verbes du premier groupe dont l’avant-dernière syllabe se termine à l’infinitif par un é (régler, alléger, céder, etc.) est, selon cette modification, alignée sur celle du verbe semer et ne maintiennent plus, au futur et au conditionnel présent, l’accent aigu de l’infinitif :
Dans les inversions sujet-verbe dans lesquelles l’e caduc est rendu sonore, la graphie proposée est rendue conforme à la prononciation d’un e ouvert :
Dans cette position, que la lettre s soit sonore ou non, l’accent grave sur le e permet d’éviter une prononciation fautive ou une ambiguïté :