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Les régiments dont le numéro est supérieur à 400 sont des régiments de marche.
Création et différentes dénominations
Le régiment a été constitué le au camp de Souge en Gironde. Son effectif à la formation est de 50 officiers, 174 sous-officiers et 3010 hommes du rang[1]. Il est dissous le à Tours-sur-Marne[2].
26 avril : Le régiment reprend Lizerne[5], rejette l'ennemi sur le canal en faisant 200 prisonniers, se couvre de gloire lors des combats de Steenstraat[6] mais perd son chef, le lieutenant-colonel Jules Barraud[7].
26 septembre : Le régiment s'empare du bois des Vingt-Millièmes, malgré la résistance acharnée de l'ennemi, et fait de nombreux prisonniers.
Le régiment reste jusqu'au 18 décembre sur diverses position du secteur de Maisons-en-Champagne.
1916
Le , la 153e, sous le commandement du colonel De Valon, est appelée en renfort à Verdun, alors que tout l'équilibre du front est rompu. Son arrivée permet de rétablir la situation.
Le 418e arrête net la progression de l'ennemi qui veut déboucher du fort de Douaumont et des bois d'Hardaumont. Malgré les attaques à répétition, pas un pouce de terrain n'est cédé à l'ennemi et pendant 11 jours le régiments livre des combats acharnés. Le 418e et toutes les unités qui composent la 153e DI sera cité à l'ordre de l'Armée.
En avril, le régiment est envoyé dans le secteur de l'Argonne et se bat sur la cote 304, dans les environs d'Esnes.
En juillet, le régiment est envoyé en renfort sur le front de la Somme, en liaison avec l'armée Anglaise, au nord de la Somme.
Durant les mois de juillet et d'août il combat au Nord-Est d'Hardecourt, entre Guillemont et Maurepas, pour conquérir la ferme de Maltz-Horn et le ravin de l'Angle. Le 3e bataillon et la 6e compagnie réussiront à prendre le Point d'appui des batteries, une charnière importante du dispositif défensif ennemi. Ils seront cités à l'ordre du 20e corps d'armée pour cet exploit.
En novembre, le régiment est aux bois de Saint-Pierre-Waast proche de Rancourt, toujours sur le front de la Somme, ou le mauvais temps transforme le terrain en une mer de boue empêchant toute attaque.
1917
Le 16 avril, lors de la bataille du Chemin des Dames le régiment est en 1re ligne. Partant des environs de Cerny, il progresse de près d'un kilomètre ou il capture un matériel important (mitrailleuses, minenwerfers...) et fait de nombreux prisonniers.
Le , malgré d'énorme pertes, il repart à l'attaque.
Il est ensuite envoyé, en hiver, dans le secteur de Verdun, à l'Ouest d'Ornes au bois de La Chaume puis au Nord-Ouest de Bezonvaux au bois des Caurrières. Il reste dans ce secteur durant soixante quatre jours, dans la boue, sous la neige et sous un bombardement continuel d'obus explosifs mais également d'ypérite.
Il est ensuite mis à l'arrière.
1918
Durant les 6 premiers mois de l'année il se reconstitue et est mis en réserve.
Le , défendu par 4 régiments et sur un terrain couvert de cadavres, le régiment s'empare de Saint-Pierre-Aigle, fait plus de 300 prisonniers dont 10 officiers et capture plusieurs dizaines de mitrailleuses. Le régiment obtient pour ce fait d'armes sa seconde citation à l'ordre de l'Armée.
: Seconde bataille de la Marne. Partant de Fosse-en-Haut[8], le régiment culbute l'ennemi puis progresse de 7 kilomètres à l'ennemi, faisant 905 prisonniers et capturant 16 canons. Il continue ensuite sa progression sur la Montagne-de-Paris[9]. Le régiment est cité une troisième fois à l'ordre de l'armée.
Pendant près d'un mois le régiment marque le pas et garde ses positions.
, le régiment franchit l'Aisne en plein jour à Pommiers et Soissons, et bouscule l'ennemi sur 4 kilomètres de terrains fortifiés défendu par la cavalerie et la Garde. Le régiment est une quatrième fois cité à l'ordre de l'armée, et porte désormais la fourragère aux couleurs de la Médaille militaire.
De l'Alsace aux Flandres 1914-1918. Le 418e régiment d'infanterie pendant la Grande guerre, Bordeaux, Impr. de G. Delmas, , 34 p., lire en ligne sur Gallica.