49e régiment de marche

Dans cet article nous allons aborder le sujet de 49e régiment de marche sous différents angles, dans le but d'en offrir une vision complète et enrichissante. Tout au long du texte, nous explorerons les multiples facettes que présente 49e régiment de marche, en analysant son impact dans différents domaines et sa pertinence aujourd'hui. Avec une approche critique et réfléchie, nous approfondirons les différents aspects entourant 49e régiment de marche, offrant au lecteur une compréhension approfondie et détaillée du sujet. À travers des recherches, des analyses et des témoignages, nous chercherons à faire la lumière sur 49e régiment de marche et à offrir une perspective éclairée qui encourage le débat et la réflexion.

49e régiment d'infanterie de marche
Création
Dissolution
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment de marche
Rôle Infanterie
Guerres Guerre franco-allemande de 1870

Le 49e régiment d'infanterie de marche (ou 49e régiment de marche) est un régiment d'infanterie français, qui a participé à la guerre franco-allemande de 1870.

Création et différentes dénominations

Chefs de corps

Le régiment est commandée par le lieutenant-colonel Gueytat[1].

Historique

Le régiment est formé le à Auxonne[2], à deux bataillons (sept compagnies)[3]. Il amalgame les 2e, 3e et 4e compagnies de dépôt du 69e régiment d'infanterie de ligne[4] et les 2e, 3e, 4e et 5e compagnies de dépôt du 70e régiment d'infanterie de ligne[5]. Destinées à rejoindre le régiment à Dijon, les 1re, 2e, 3e et 5e compagnies de dépôt du 90e régiment d'infanterie de ligne combattent dans la capitale bourguignonne et sont séparés du reste du 49e de marche. Elles rejoignent ensuite les 55e et 60e de marche[6].

Le 49e de marche est affecté au 18e corps d'armée (armée de l'Est) sans être endivisionné[7]. Combattant avec l'armée de l'Est[8], le 49e de marche est notamment chargé de la défense de l'artillerie du corps[9],[10],[11],[12],[13].

Le régiment est interné en Suisse le [14].

Il fusionne le dans le 49e régiment d'infanterie de ligne[15].

Notes

  1. Décrets, arrêtés et décisions de la délégation du gouvernement de la défense nationale hors de Paris, L. Baudouin, (lire en ligne), p. 149
  2. Belhomme 1902, p. 534.
  3. Martinien 1911, p. 444.
  4. Martinien 1911, p. 140.
  5. Martinien 1911, p. 142.
  6. Martinien 1911, p. 174.
  7. Philibert d'Ussel, Campagne d'un volontaire sur la Loire et dans l'Est, (lire en ligne), p. 26
  8. La guerre de 1870-1871, p. 97.
  9. La guerre de 1870-1871, p. 19.
  10. La guerre de 1870-1871, p. 64.
  11. La guerre de 1870-1871, p. 66.
  12. La guerre de 1870-1871, p. 110.
  13. La guerre de 1870-1871, p. 191.
  14. E. Dawall, Les Troupes françaises internées en Suisse à la fin de la guerre franco-allemande en 1871, Berne, (lire en ligne), p. 108.
  15. Belhomme 1902, p. 568.

Voir aussi

Bibliographie

  • Jérôme-Hyacinthe Penhoat, Journal des marches de la 2e division d'infanterie du 18e corps, Cherbourg, Imprimerie de Bedelfontaine et Syffert, , 124 p. (lire en ligne).
  • Victor Belhomme, Histoire de l'infanterie en France, t. 5, Henri Charles-Lavauzelle, (lire en ligne).
  • La guerre de 1870-71, vol. 28, t. II. La marche sur Vesoul. - Villersexel. : Étude sur la campagne du général Bourbaki dans l'Est, Paris, Librairie Chapelot, (lire en ligne).
  • Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au 1er mars 1871 : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne).

Articles connexes