Dans cet article, le sujet de 63e régiment de marche sera abordé de manière exhaustive, en analysant ses principaux aspects et en abordant les différentes perspectives qui existent sur le sujet. 63e régiment de marche est un sujet qui a suscité un grand intérêt tant dans la communauté universitaire que dans la société en général, en raison de sa pertinence et de son impact dans divers domaines. Tout au long de ces pages, 63e régiment de marche sera examiné sous différentes approches, dans le but de fournir une vision complète et enrichissante sur ce sujet. En examinant diverses sources et en présentant des cas spécifiques, le lecteur bénéficiera d'une large compréhension de 63e régiment de marche et de ses implications aujourd'hui.
63e régiment d'infanterie de marche | |
Création | |
---|---|
Dissolution | |
Pays | ![]() |
Branche | Armée de terre |
Type | Régiment de marche |
Rôle | Infanterie |
Fait partie de | Armée de l'Est Armée d'Afrique |
Guerres | Guerre franco-allemande de 1870 Révolte de Mokrani |
modifier ![]() |
Le 63e régiment d'infanterie de marche (ou 63e régiment de marche) est un régiment d'infanterie français, qui a participé à la guerre franco-allemande de 1870.
Par décret du et jusqu'à sa transformation en régiment de ligne, le régiment est commandé par le lieutenant-colonel Desvaux de Lyf[1],[2],[3].
Le 63e régiment de marche est formé à Besançon le [4] (à l'exception du IIIe bataillon rassemblé à Lons-le-Saunier[5]). Le Ier bataillon est issu du bataillon de marche du 78e régiment de ligne (six compagnies, 19 officiers et 966 hommes)[6], son IIe du bataillon de marche du 85e de ligne (six compagnies, 20 officiers et 691 hommes)[7] et son IIIe d'un bataillon de marche du 84e de ligne (six compagnies, 19 officiers et 1 267 hommes)[8].
Le , le 63e de marche, regroupé à Besançon, est rattaché à la 1re brigade de la 1re division du 24e corps d'armée (armée de l'Est)[9]. Lors de la bataille d'Héricourt, le , le Ier bataillon du 63e tente avec le 15e bataillon de chasseurs un assaut à découvert sur Bethoncourt qui échoue rapidement[10]. Le IIIe bataillon, égaré[11], se joint à l'attaque d'Héricourt menée par le 20e corps le lendemain[12].
Il est interné en Suisse le [13],[14].
Libéré, il part en Algérie pour combattre la révolte de Mokrani[15]. Il fusionne le avec le dépôt du 63e de ligne[16].