Dans cet article, nous explorerons tout ce qui concerne 60e régiment de marche. De son importance historique à sa pertinence dans la société actuelle, en passant par ses multiples facettes et usages. Nous analyserons en détail son impact dans différents domaines, ainsi que les controverses qu’il a suscitées au fil du temps. Nous connaîtrons les opinions des experts et les expériences de ceux qui ont vécu de près son influence. 60e régiment de marche est un sujet passionnant et d'une grande importance pour la compréhension de notre monde, nous vous invitons donc à vous plonger dans cette analyse complète que nous avons préparée pour vous.
60e régiment d'infanterie de marche | |
Création | |
---|---|
Dissolution | |
Pays | ![]() |
Branche | Armée de terre |
Type | Régiment de marche |
Rôle | Infanterie |
Fait partie de | Armée de l'Est |
Guerres | Guerre franco-allemande de 1870 |
modifier ![]() |
Le 60e régiment d'infanterie de marche (ou 60e régiment de marche) est un régiment d'infanterie français, qui a participé à la guerre franco-allemande de 1870.
Par décret du , le lieutenant-colonel Victor Irlande prend le commandement du régiment[1]. Nommé colonel le et prenant le commandement de la brigade du 60e de marche, Irlande est remplacé par le lieutenant-colonel Charles-Paul-Émile Jouneau[2],[3],[4].
Le 60e régiment de marche est formé à Lyon le [5], à trois bataillons de six compagnies[6]. Il amalgame les 6e, 7e, 8e et 9e compagnies de dépôt du 27e de ligne[7], les 2e, 3e et 4e compagnies de dépôt du 71e de ligne[8], les 3e et 5e compagnies de dépôt du 90e de ligne[9], les 2e, 3e, 4e et 5e compagnies du 93e de ligne[10], les 5e, 6e, 7e et 8e compagnies du 98e de ligne[11].
Le , le 24e corps d'armée est créé et le 60e de marche est affecté à la 1re division de ce corps[12]. Le corps est réorganisé le et le régiment passe à la 1re brigade de la 2e division[13]. Il combat avec l'armée de l'Est, chargée d'aller dégager la garnison de Belfort. Le , prenant de flanc le 25e régiment d'infanterie allemand (de), le 60e de marche s'empare d'Arcey[14] puis d'Aibre[15]. Lors de la bataille d'Héricourt, le 60e prend le Bussurel et Vyans-le-Val mais, manquant de mordant et freinée par l'artillerie prusienne, son attaque ne débouche pas[16]. Il se maintient à Bussurel et Vyans jusqu'au [17],[18].
Il est interné en Suisse le [19],[20].
Libéré, il fusionne fin dans le 60e régiment d'infanterie de ligne[21].