Dans le monde d'aujourd'hui, 2010 dans l'Union européenne est devenu un sujet d'intérêt de plus en plus pertinent. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, 2010 dans l'Union européenne a acquis une importance sans précédent dans la société moderne. Depuis ses origines jusqu'à son impact aujourd'hui, 2010 dans l'Union européenne a fait l'objet d'études, de débats et d'intérêt de la part de divers acteurs sociaux. Dans cet article, nous explorerons la pertinence et les implications de 2010 dans l'Union européenne dans différents aspects de notre vie quotidienne, de son influence sur l'économie à son impact sur la culture et les relations interpersonnelles. Grâce à une analyse détaillée, nous examinerons les différentes facettes de 2010 dans l'Union européenne et son rôle dans le façonnement du monde d'aujourd'hui.
Jeudi , crise grecque : la chancelière allemande, Angela Merkel et le président français, Nicolas Sarkozy trouvent un compromis, validé par les autres membres de la zone euro, prévoyant des prêts bilatéraux associés à la possibilité d'une aide du FMI.
Dimanche , crise grecque : les États de la zone euro finissent par s'accorder sur le principe de prêts bilatéraux à trois ans, au taux de 5 % d'un montant initial de 30 milliards d'euros., complété par 10 à 15 milliards avancés par le Fonds monétaire international.
Vendredi , crise grecque : la Grèce demande officiellement l'activation du plan de prêts bilatéraux. La France et l'Allemagne posent des conditions.
Mardi , crise grecque : la Grèce annonce qu'elle ne peut plus emprunter aux taux pratiqués.
Mercredi : le Portugal et l'Espagne ont leur note rétrogradées par les agences de notation.
Dimanche : le plan de soutien à la Grèce est porté à 110 milliards d'euros en échange de nouvelles mesures d'austérité.
Mardi : le l'euro est en baisse en dessous de 1,30 dollar. Les bourses européennes plongent.
Dimanche : le Conseil pour les affaires économiques et financières (ECOFIN) de l'Union décide de créer un fonds de 500 milliards d'euros, auquel s'ajouterait environ 200 à 250 milliards du Fonds monétaire international, destiné à éviter que la crise économique grecque ne s'étende à d'autres pays de la zone euro (Espagne, Portugal, Italie) et à lutter contre la spéculation qui a fait chuter significativement la valeur de l'euro dans les semaines précédentes. Dès le lendemain, les Bourses remontent, mais le 14, l'euro passe sous le seuil de 1,24 dollar et les Bourses plongent à nouveau.
Mercredi : la Commission, estime que l'Estonie remplit tous les critères pour adhérer à la zone euro au .
L'Islande devient officiellement candidate à l'adhésion à l'Union européenne.
Le Conseil européen s'accorde pour que dorénavant la Commission examine les projets de budget nationaux avant leur adoption formelle par les gouvernements et les Parlements nationaux.
Le Conseil européen demande au Conseil des ministres des Affaires étrangères de mettre au point des sanctions économiques contre l'Iran qui refuse de négocier sur son programme nucléaire.
Le Conseil des ministres des Affaires étrangères adopte des sanctions économiques contre l'Iran pour son refus de négocier sur son programme nucléaire.
Vendredi : entrée en vigueur de l'embargo sur les produits dérivés du phoque, avec pour exceptions les produits des organisations ayant entamés un recours devant la Cour de justice.
Lundi : après avoir annoncé une aide de 70 millions d'euros, la Commissaire à l'Aide humanitaire, Kristalina Georgieva, se rend au Pakistan à la suite des inondations.
Mardi : le Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso prononce le premier discours sur l'état de l'Union face au Parlement européen à Strasbourg en mettant l'accent sur la relance économique et sur la nécessité d'un renforcement d'une politique commune de défense (« Soit nous nageons ensemble, soit nous coulons chacun de notre côté »).
Le Conseil de l'Union européenne des ministres des finances adopte un projet de renforcement de supervision financière.
Jeudi : le Parlement européen adopte une résolution dans laquelle il presse la France de « suspendre sur le champ » les expulsions de Roms.
Mercredi : le Parlement européen adopte le projet de renforcement de la supervision financière.
Mercredi : une manifestation organisée par la Confédération européenne des syndicats contre les mesures d'austérité budgétaire en Europe réuni plus de cent mille manifestants venus de vingt-quatre pays à Bruxelles.
Dimanche : L'Irlande demande l'activation du Fonds européen de stabilité financière (FESF) ainsi que du Mécanisme européen de stabilisation financière (qui permet à la Commission d’emprunter jusqu’à 60 milliards d’euros).