Dans cet article, nous explorerons en profondeur Marville (Meuse), un sujet qui a suscité un grand intérêt et un grand débat ces dernières années. De ses origines à sa pertinence aujourd'hui, Marville (Meuse) a retenu l'attention de diverses sphères de la société. A travers une analyse exhaustive, nous examinerons les différentes arêtes qui composent Marville (Meuse), ainsi que leurs implications dans différents contextes. De plus, nous soulignerons l’évolution de Marville (Meuse) au fil du temps, en mettant en avant son impact dans différents domaines et son influence sur la prise de décision. En pesant les différents points de vue sur Marville (Meuse), nous cherchons à fournir une perspective globale qui enrichit la compréhension de ce sujet si pertinent aujourd'hui.
L'Othain, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Gondrecourt-Aix et se jette dans la Chiers à Montmédy, après avoir traversé 25 communes[4].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : le plan d'eau de l'Othain, d'une superficie totale de 26,1 ha (20,4 ha sur la commune)[Carte 1],[5].
Marville repose sur un massif karstique comprenant de nombreuses cavités et un ruisseau souterrain auxquels il est possible d'accéder par de nombreuses dolines (profondes jusqu'à presque plus que 20 mètres), dans le Bois de Marville et le Bois de Rupt-sur-Othain. Le ruisseau souterrain peut être visité par des spéléologues confirmés en rampant d'abord au fond d'une doline à travers un étroit boyau, rempli à moitié de boue liquide. Après une cinquantaine de mètres, il faut descendre en rappel une cascade de quelques mètres puis suivre le ruisseau sur plusieurs centaines de mètres jusqu'à un siphon. En cas de crue, les eaux resurgissent comme un geyser pouvant atteindre 2 m de hauteur à partir de sources souterraines inondant parfois une partie du village de Delut ; on les appelle les bouillons de Delut[6].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 949 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].
Au , Marville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16].
Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (45,2 %), forêts (18,7 %), prairies (16,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), zones urbanisées (2,2 %), eaux continentales[Note 3] (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Martis-villa (IXe siècle) ; Cenobium Sancti-Petri Martis-villæ (1158) ; Castrum et villa de Marvilla (1213) ; Marvilla (1220) ; Marville (1267) ; Marwille (xve siècle)[21].
Histoire
Préhistoire et antiquité
La présence humaine est attestée de longue date en Lorraine. La culture celte y a notamment prospéré au Ve siècle av. J.-C.. Située sur le territoire de l'ancienne Gaule romaine, Marville est à mi-chemin entre les grandes cités de Verdun et d'Arlon en Belgique.
Les plus anciennes mentions de Marville remontent à la fin du XIIe siècle. À cette époque, le comte de Bar, Thiébaut Ier, y fait édifier une forteresse. Vers 1190, il affranchit partiellement la cité, conférant de nombreux avantages aux habitants et aux métiers de Marville, notamment dans les domaines économiques et judiciaires.
Par son mariage avec la comtesse Ermesinde de Luxembourg, fille d'Henri l'Aveugle, Thiébaut Ier fait entrer Marville dans les possessions du Luxembourg. Mort en croisade contre les Albigeois dans le sud de la France, il laisse une veuve qui épouse le marquis d'Arlon et comte de Limbourg.
Le lieu-dit de Choppey était une cense placée sous la souveraineté commune des ducs de Bar et de ceux de Luxembourg de 1270 à 1603.
Le , Antoine de Brabant et Édouard III, comte de Bar, meurent tous les deux à Azincourt. Marville perd ses deux seigneurs. À Édouard III succède son fils, Jean IV. Dès 1419, il transmet ses États à son petit-neveu, René d'Anjou, marié à Isabelle, héritière de Lorraine. Le décès simultané de ces deux personnalités ne modifie en rien le destin particulier de Marville. Les héritiers d'Ermesinde continuent de se transmettre la cité, provoquant une indivision pour quatre siècles entre le comté de Bar et celui de Luxembourg. Cette période est appelée « Les Terres Communes ». Elle se caractérise par une profitable neutralité pour les habitants de Marville au cours de la tumultueuse époque des « guerres féodales ». La ville s'enrichit de cette favorable position et connaît son apogée à la Renaissance aux XVIe et XVIIe siècles.
Période moderne
Maisons Renaissance.
En 1441, une lointaine descendante d'Ermesinde, duchesse en titre mais désargentée, vend le comté de Luxembourg à Philippe III de Bourgogne. Marville entre dans les États bourguignons. La petite-fille de celui-ci, Marie de Bourgogne, épouse l'héritier des Habsbourg. Leur petit-fils est Charles Quint. De cette succession, Marville conserve un patrimoine bâti lié à la présence espagnole en Lorraine. Pendant cette période, Marville fait en effet partie des Pays-Bas espagnols. Il reste quelques maisons de style Renaissance espagnole intéressantes par leur état de conservation et leur rareté en Gaume[22].
En 1659, à l'occasion du Traité des Pyrénées réconciliant la France et l'Espagne, Marville est intégrée au royaume de France, rompant ainsi le lien qui l'unissait au Luxembourg. Devenant alors un chef-lieu de prévôté et de bailliage du Luxembourg français.
Était rattaché au diocèse de Trèves (archidiaconé de Longuyon et doyenné de Juvigny).
En 1672, la fortification des défenses de Montmédy, sur ordre de Louis XIV, s'accompagne du démantèlement de celles de Marville, dans le but de limiter les pouvoirs de la noblesse locale ainsi que d'éviter d'offrir à tout ennemi potentiel une place forte en état de fonctionnement. La politique centralisatrice de Louis XIV et sa stratégie militaire provoquent le déclin de Marville.
Époque contemporaine
Soldats allemands à Marville, carte postale, 1914-1918.
La cité garde son nouveau statut de bourgade de province jusqu'au conflit de 1914. La ligne de front se stabilise en effet rapidement sur une ligne de 500 km orientée du nord au sud, passant par les hauteurs de Verdun, à quarante kilomètres vers le sud-ouest. Marville est située juste à l'arrière des lignes allemandes et subit des dégâts lors de bombardements.
En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
total des produits de fonctionnement : 1 102 000 €, soit 2 080 € par habitant ;
total des charges de fonctionnement : 555 000 €, soit 1 047 € par habitant ;
total des ressources d'investissement : 66 000 €, soit 124 € par habitant ;
total des emplois d'investissement : 199 000 €, soit 375 € par habitant ;
endettement : 1 551 000 €, soit 2 926 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
taxe d'habitation : 13,43 % ;
taxe foncière sur les propriétés bâties : 33,87 % ;
taxe foncière sur les propriétés non bâties : 20,97 % ;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,61 % ;
cotisation foncière des entreprises : 14,39 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 990 €[26].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2022, la commune comptait 514 habitants[Note 4], en évolution de +3,42 % par rapport à 2016 (Meuse : −4,4 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Outre ses monuments religieux et funéraires remontant au Moyen Âge, Marville possède de rares témoins de la Renaissance espagnole en Gaume, avec ses belles façades, nées de l'implantation de familles nobles, bourgeoises ou commerçantes attirées par l'époque prospère du XVIe siècle. Le village possède surtout l'un des rares cimetières classés[32] - sinon le seul-, en raison de son exceptionnel état de conservation et de la diversité de ses tombes[33]. Il est classé monument historique par arrêté du 13 août 1931[34]. Le cimetière de Saint-Hilaire, couronné avec la chapelle Saint-Hilaire, est également classé monument historique depuis 1931[35].
Marville fait partie du réseau national des Petites Cités de Caractère®.
Moyen Âge
Chapelle Saint-Hilaire.
Chapelle Saint-Hilaire de style roman (XIIe-XIVe), classée monument historique en 1931, qui fut l'église mère de Marville jusqu'au XIIIe siècle. D'abord romane, elle a été transformée au XIVe siècle. Elle conserve un important mobilier funéraire gothique et moderne (in-situ ou provenant du cimetière), des autels latéraux du XVe siècle et un retable de 1707[36],[37].
Ossuaire de 40 000 crânes et cimetière classés (XVe siècle).
Maison dite du Prieur de Saint-Hilaire -Saint-Nicolas XVIe siècle, 2, Grande-Place classée monument historique en 2006[47].
Ancien refuge de l'abbaye d'Orval, 27 et 29 rue des Prêtres, XVIe siècle et XVIIIe siècle classé partiellement monument historique en 1931 et inscrit en 1998[48].
Ancien Hôtel de ville dit Maison des Drapiers, rue du Tripot, dont la porte avec une statuette de drapier est classée monument historique en 1931[49].
Un épisode de la série Maigret avec Bruno Cremer (Le fou de Sainte Clotilde) y a été en partie tourné.
Suite française, film historique sorti en 2015 qui prend pour cadre le village de Bussy, est tourné en partie à Marville en .
Rendez-vous d'Antoinette Beumer tourné en 2014 dans le Pays de Montmédy.
L'inconnue du cimetière Saint-Hilaire de Pierre Kalmar, roman fantastique et symbolique situé à Marville et Bar-le-Duc.
Tout doit disparaître est un roman de Laurent Maillard, paru en 2022 aux Éditions Macha, qui a pour point de départ l'histoire familiale de l'auteur dont l'aïeul, Constant Motsch, gardien du cimetière Saint-Hilaire de Marville, a "rangé" l'ossuaire en 1890[64].
La famille de Nikolaus Harnoncourt (Johann Nikolaus, comte de La Fontaine et d’Harnoncourt-Unverzagt), chef d'orchestre, violoncelliste et gambiste autrichien est originaire de Marville. Sa famille qui ne s'appelait alors que « de La Fontaine » était longtemps receveur à Marville pour le compte du duc de Bar[65]. Cette famille se réfugia à Harnoncourt, pour échapper aux persécutions des protestants à la suite de la révocation de l'édit de Nantes. C'est là qu'ils s'adjoignirent la mention d'Harnoncourt. Puis Joseph Louis Matthieu de La Fontaine d'Harnoncourt (1736-1816), se mit au service des Habsbourg alors qu'un Lorrain, François III de Lorraine qui épousa l'archiduchesse Marie-Thérèse de Habsbourg, avait été élu empereur romain germanique sous le nom de François Ier en fondant ainsi la dynastie des Habsbourg-Lorraine. Nikolaus Harnoncourt descend directement de ce même François Ier du Saint-Empire par sa mère, qui était son arrière-arrière-petite-fille.
Pierre-Nicolas Constant Motsch..
Gardien du cimetière Saint-Hilaire, Pierre Nicolas Constant Motsch a entreposé en 1890 dans le petit ossuaire entre 4 et 5 000 crânes[66], issus d'une fosse commune qui avait été notamment alimentée par la maladrerie de Marville[67]. L'ossuaire rassemblait également 29 "horloges de la vie", de petites boîtes en forme de tête d’horloge qui renfermaient les crânes d’hommes et de femmes de Marville décédés entre les années 1780 et 1860.
Fin XVIIIe, début XIXe, c'était une pratique funéraire courante que de placer des crânes exhumés des tombes dans une boîte[68] avec sur la façade son nom, sa date de décès, son statut social pour certains et souvent une prière, à Marville « Nous avons été comme vous,Vous serez comme nous, Priez Dieu pour nous ». Pierre Nicolas Constant Motsch est né le 13 octobre 1834 à Stenay (Meuse) et décédera le 16 janvier 1902 à Marville. Son fils Henry Adrien Motsch prit sa suite en tant que gardien du cimetière jusqu'à la 1ère guerre mondiale, date à laquelle la famille Motsch partit s'installer à Ligny-en-Barrois (Meuse).
Héraldique
Les anciennes armes de Marville étaient « mi-parti à dextre burelé d'argent et de gueules de dix pièces, au lion d'argent langué d'azur, couronné et armé d'or, à la queue fourchue, brochant sur le tout, qui est de Luxembourg moderne, modifié, comme partie dominante ; et à sénestre , d'azur aux deux barreaux d'argent adossés, accompagnés de trois croisettes recroisetées au pied fiché de même, pour les insignes du Barrois »[21].
Blason
Parti : au 1er burelé d'argent et d'azur, au lion de gueules à la queue fourchée et passée en sautoir, armé ; lampassé et couronné d'or, brochant sur le tout, au 2e d'azur à deux bars adossés d'or, cantonnés de quatre croisettes recroisetées au pied fiché d'or.
Détails
Marville fut possédée par les ducs de Luxembourg et les comtes de Bar ; c'est sans doute à cette particularité que font allusion ses armoiries[69]. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Notes et références
Notes
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Gamez, P. (1983). – « Morphologie karstique du bassin de Delut (Meuse) », Bulletin de la Société d'histoire naturelle des Ardennes tome 73, Société d'histoire naturelle des Ardennes, Charleville-Mézières, p. 37-44.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Simone Collin-Roset, Marie-France Jacops, « Marville. Église Saint-Hilaire », Congrès archéologique de France, vol. 1991, no 149, , p. 197-206 (lire en ligne).
↑Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur
Voir aussi
Bibliographie
Simone Collin-Roset, Marville, dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 185-189, Société française d'archéologie, Paris, 1995
Simone Collin-Roset, Marville, église Saint-Nicolas, dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 191-195, Société française d'archéologie, Paris, 1995
Simone Collin-Roset, Marie-France Jacops, Marville, église Saint-Hilaire, dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 197-206, Société française d'archéologie, Paris, 1995
Simone Collin-Roset, Jacques Guillaume et Anne Remy-Tosi, Marville : l'apport de l'étude des sous-sols à la connaissance de l'architecture civile, In Situ. Revue des patrimoines, no 2, 2002 ( lire en ligne )
Ce livre est tiré de l'émission Le village préféré des français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Marville, pages 84 à 87** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.
(fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région