Sans aucun doute, Bpost est un sujet qui a retenu l’attention de millions de personnes à travers le monde. Sa pertinence et son importance ont suscité un profond intérêt pour en savoir plus sur ce sujet et explorer ses différentes facettes. Depuis ses origines jusqu'à son impact sur la société actuelle, Bpost a fait l'objet de débats, de réflexions et d'analyses de la part d'experts et de fans. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Bpost, en examinant son influence dans divers domaines et son évolution au fil du temps. Il ne fait aucun doute que Bpost est un sujet qui ne laisse personne indifférent et qui continue de susciter un grand intérêt aujourd’hui.
Bpost | |
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Création | 1992 |
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Dates clés | : changement de dénomination sociale |
Forme juridique | Société anonyme de droit public |
Action | Euronext : BPOST |
Slogan | Bpost s'en charge Bpost ondersteunt Bpost unterstützt Yes We Care |
Siège social | Bruxelles![]() |
Direction | Philippe Dartienne (d) |
Actionnaires | État belge (d) (51 %) |
Produits | services postaux, colis, timbres, banque |
BCE | 0214596464[1] |
TVA européenne | BE0214596464[2] |
Site web | bpost.be |
Capitalisation | 2 138 millions d'euros en |
Chiffre d'affaires | 3 774 millions d'euros en 2018 |
Résultat net | 265 millions d'euros en 2018 |
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Bpost (anciennement : La Poste) est une société anonyme belge de droit public qui a deux grandes activités :
En 1830, les postes belges deviennent un service de l’État appelé « Administration de la poste » pour devenir « Régie des postes » en 1971[3]. En 1992, la « Régie des postes » voit sa raison sociale modifiée en « La Poste » (en néerlandais : De Post, en allemand : Die Post).
Le , la Sabena inaugure son circuit postal héliporté desservant quotidiennement (sauf le dimanche) neuf villes du royaume, y compris jusqu'à Libramont, en Ardenne belge[4]. Ce service fut finalement arrêté le .
En , la société annonce son changement de nom et de logo en vue de la libéralisation des services postaux en en Belgique puis dans l'Union européenne. Dès lors, la poste belge devient « bpost », avec un logo moderne tout en montrant les racines locales belges de l'entreprise, avec le « b ».
En , Bpost annonce l'acquisition de Radial (en), une entreprise américaine spécialisée dans le commerce en ligne, et qui est issue d'ancienne activité d'eBay, pour 820 millions de dollars[5].
En , Bpost annonce la vente de sa participation de 50 % dans Bpost banque à BNP Paribas Fortis pour entre 100 et 120 millions d'euros[6],[7]
Bpost est chargée d'assurer le service universel postal. Elle bénéficie d'un monopole sur certaines prestations de courrier, qui s'est restreint depuis le aux envois intérieurs de moins de 100 g et aux envois internationaux entrants de moins de 100 g.
bpost réalise un chiffre d'affaires annuel (2013) de 2,44 milliards d'euros environ, pour un bénéfice avant intérêts et impôts de 450 millions d'euros.
Liste non-exhaustive des bâtiments historiques remarquables de la poste belge :
Nom | Actions | % |
Gouvernement fédéral belge | 102 075 649 | 51,0 % |
DWS Investment (en) | 5 283 732 | 2,64 % |
Norges Bank Investment Management | 3 863 583 | 1,93 % |
The Vanguard Group | 2 651 240 | 1,33 % |
Degroof Petercam Asset Management | 1 834 090 | 0,92 % |
Fideuram Asset Management (Ireland) (it) | 1 297 059 | 0,65 % |
BlackRock Investment Management | 1 204 141 | 0,60 % |
Dimensional Fund Advisors | 1 104 988 | 0,55 % |
BlackRock Advisors | 1 084 628 | 0,54 % |
BlackRock Fund Advisors | 889 024 | 0,44 % |
En , l'administrateur délégué Jean-Paul Van Avermaet est discrédité dans la presse. Il y a à ce moment une enquête sur les crimes commis dans le secteur de la sécurité en Belgique. Outre l'Autorité belge de la concurrence (BMA), le ministère américain de la Justice mène également une enquête depuis . Notamment à cause de leur cellule anti-cartel, qui soupçonne que les grandes entreprises de sécurité G4S, Securitas et Seris — qui étaient en concurrence pour des contrats pour des institutions telles que l'ambassade américaine à Bruxelles ou l'OTAN — aient conclu des accords de prix secrets et donc violé les intérêts américains. Le parquet de Bruxelles travaille également sur l'affaire. Le patron de Bpost, Jean-Paul Van Avermaet, qui était auparavant responsable du cluster chez G4S, a été désigné par la BMA comme l'un des principaux suspects. Les e-mails et les messages WhatsApp transférés le mettraient dans l'embarras.
Jean-Pascal Labille est sanctionné par la FSMA en mai 2023 pour avoir révélé au public le 27 mai 2016 que l'État belge projetait de vendre bpost à PostNL[8],[9]. L'information est alors démentie par Alexander De Croo, mais les négociations entre bpost et PostNL sont interrompues deux jours plus tard[8],[9].