Dans cet article, nous explorerons le sujet de 2020 en Bolivie à partir d'une approche multidisciplinaire, en analysant ses implications et sa pertinence dans différents contextes. 2020 en Bolivie est un sujet largement étudié et débattu dans divers domaines, ses répercussions vont de la sphère sociale à la sphère scientifique, et son influence s'étend à travers l'histoire. Grâce à une analyse complète, nous visons à faire la lumière sur 2020 en Bolivie et à offrir une perspective complète qui nous permet de comprendre son importance et sa portée aujourd'hui. Tout au long de cet article, nous examinerons différents aspects de 2020 en Bolivie et explorerons son impact sur la société aujourd'hui, ainsi que ses implications possibles pour l'avenir.
20 mai : le ministre de la santé, Marcelo Navajas, est arrêté à La Paz par la Force spéciale de lutte contre le crime, soupçonné de corruption après l'achat à un tarif surévalué de 179 respirateurs dédiés aux malades du Covid-19[1].
18 octobre : élections générales, Les sondages de sortie des urnes donnent Luis Arce élu dès le premier tour, une victoire reconnue le soir même par la présidente sortante, qui lui adresse ses félicitations.
5 novembre : manifestations et de blocages de route dans tout le pays à l'appel du groupe d'extrême-droite Comité Cívico, qui conteste les résultats des élections gagnées par la gauche ; le QG de campagne à La Paz du président socialiste récemment élu Luis Arce est visé par un attentat à la dynamite alors qu'il y rencontrait le chef du parti majoritaire de gauche MAS Sebastián Michel, la tentative d'assassinat ne fait pas de blessé[2],[3].