Dans le monde d'aujourd'hui, 2011 au Sénégal est un sujet qui a retenu l'attention de tous, que ce soit en raison de sa pertinence historique, de son impact sur la société moderne ou de son influence sur le développement de la technologie. Pendant des siècles, 2011 au Sénégal a fait l'objet d'études, de débats et de controverses, et son importance ne cesse de croître. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de 2011 au Sénégal, de ses origines à son influence aujourd'hui, en considérant son impact sur différents domaines de la vie quotidienne. Nous examinerons également les opinions et les perspectives d’experts dans le domaine, dans le but d’offrir un aperçu large et complet de ce sujet fascinant.
Cet article présente les faits marquants de l'année 2011 au Sénégal.
Évènements
Jeudi : les autorités sénégalaises ont interdit à la compagnie aérienne belge Brussels Airlines de continuer ses vols commerciaux entre Dakar et trois autres destinations africaines, Banjul, Conakry et Freetown. Ces liaisons étaient opérées depuis 8 ans dans le cadre de vols combinés, destinés à optimiser le remplissage des avions et faisaient l'objet d'un accord bilatéral. Cette interdiction de vols provoquent des tensions diplomatiques avec la Belgique, qui menace de rappeler son ambassadeur. Cette interdiction serait liée au démarrage cette semaine d'une nouvelle compagnie aérienne sénégalaise, Sénégal Airlines[1].
Lundi : lancement officiel d'un nouveau magazine en ligne, SlateAfrique.com, sur l'actualité africaine, créé par des journalistes français dont l'ancien directeur du journal Le Monde, Jean-Marie Colombani. Lancé depuis Dakar il veut apporter « une vision africaine de l'Afrique » dans le traitement de l'information grâce à des contributeurs en grande majorité africains. Le site se veut afro-optimiste et d'un « accès libre et gratuit ».
Samedi : le ministre de la Justice Cheikh Tidiane Sy annonce que plusieurs personnes soupçonnées d'avoir comploté en vue d'un coup d’État ont été arrêtées. Des « commandos » d'opposants avaient planifié de mener plusieurs actions autour de la capitale qui auraient pu provoquer des morts[2].
Vendredi , Dakar : manifestation d'anciens militaires invalides à Ouakam pour « réclamer une revalorisation de leur pension, une meilleure couverture sociale et une réinsertion professionnelle »[3].
Mercredi : à Dakar, cérémonie de commémoration du souvenir de la traite négrière[4].
Dimanche : deux soldats sénégalais ont été tués lors d'une attaque de rebelles indépendantistes dans un village situé à 75 km au nord de la capitale régionale Ziguinchor[5].
Vendredi : deux soldats tués et des blessés dans l'explosion d'un véhicule militaire sur une mine antichar à Djifanga (arrondissement de Sindia). Depuis le , 19 soldats sénégalais et 15 rebelles du MDFC ont été tués dans les violences[6].