Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons plonger dans le monde fascinant de 1956 au Québec. De ses origines à son impact sur la société actuelle, nous explorerons toutes les facettes de ce sujet pertinent. 1956 au Québec fait l'objet de débats et d'études depuis longtemps, et dans cet article nous tenterons de mettre en lumière son importance et son influence dans différents domaines. De ses aspects les plus méconnus à ses applications pratiques, 1956 au Québec est sans aucun doute un sujet qui ne laisse personne indifférent. Alors préparez-vous à plonger dans une analyse approfondie et enrichissante de 1956 au Québec.
28 octobre : première de l'émission Point de mire, animée par le journaliste René Lévesque, dont le but est de faire le point sur les actualités nationales et internationales.
1er mai : Thérèse Casgrain déclare lors d'une interview au Devoir que le Québec est « la région la plus vénale du continent nord-américain ». Elle fait allusion à la corruption politique qui y règne
20 janvier : le film L'Équipée sauvage, mettant en vedette Marlon Brando, est interdit de diffusion au Québec. La censure y voit une source de perversion et de violence.
20 janvier : le film L'Équipée sauvage, mettant en vedette Marlon Brando, est interdit de diffusion au Québec. La censure y voit une source de perversion et de violence[3].
23 février : l'Assemblée législative adopte la loi des marchés agricoles, créant un Office des marchés agricoles chargé de surveiller et de coordonner la mise en marché des produits agricoles[7].
Mars
9 mars : Maurice Duplessis signe un accord fiscal avec Ottawa à l'occasion d'une conférence fédérale-provinciale. Le Québec recevra 345 millions de dollars du fédéral en 1957-1958[8].
14 mars : le ministre Paul Dozois annonce que Québec injectera 1 million $ dans un plan d'élimination des taudis à Montréal[9].
Avril
6 avril : le rapport de la commission Tremblay sur les problèmes constitutionnels est rendu public. Il préconise que le gouvernement fédéral se limite aux taxes indirectes alors que les taxes directes seraient perçues par les provinces. Celles-ci devraient également assumer la responsabilité des mesures de sécurité sociale. De plus, le rapport statue que Québec a bien agi en refusant les octrois fédéraux aux universités[10].
1er mai : Thérèse Casgrain déclare lors d'une interview au Devoir que le Québec est « la région la plus vénale du continent nord-américain ». Elle fait allusion à la corruption politique qui y règne[13].
18 juillet : Québec annonce une aide fédérale pour le plan Dozois visant à éliminer les taudis de l'île de Montréal[18].
Août
7 août : les abbés Gérard Dion et Louis O'Neill dénoncent la politique provinciale dans un manifeste. Selon eux, elle se caractérise par des mensonges systématiques, l'emploi du mythe, l'achat de votes, la violation de la loi électorale, les faux serments et la substitution de personnes. La corruption politique au Québec est, toujours selon eux, généralisée et institutionnalisée[19].
19 octobre : Maurice Duplessis repousse une nouvelle proposition d'aide aux universités. Le premier ministre canadien Louis St-Laurent invite les universités à accepter directement les subsides fédéraux[22].
28 octobre : première de l'émission Point de mire, animée par le journaliste René Lévesque, dont le but est de faire le point sur les actualités nationales et internationales[23].
Novembre
14 novembre : début de la première session de la 25e législature. Dans son Discours du Trône, Duplessis promet des subventions à tous les paliers d'enseignement[20].