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Youcef Belmehdi | |
Fonctions | |
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Ministre algérien des Affaires religieuses et des Wakfs | |
En fonction depuis le (6 ans et 18 jours) |
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Président | Abdelaziz Bouteflika Abdelmadjid Tebboune |
Chef de l'État | Abdelkader Bensalah (intérim) |
Premier ministre | Noureddine Bedoui Sabri Boukadoum (intérim) Abdelaziz Djerad Aïmene Benabderrahmane |
Gouvernement | Bedoui Djerad I, II et III Benabderrahmane/Larbaoui |
Prédécesseur | Mohamed Aïssa |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Bousaada (Algérie) |
Nationalité | Algérienne |
Diplômé de | Université Émir Abdelkader (en) Université d’Alger |
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Youcef Belmehdi (en arabe : يوسف بلمهدي), né le à Bousaada (Algérie) est un haut fonctionnaire algérien, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs depuis 2019.
Après avoir obtenu son baccalauréat en sciences naturelles en 1983, Youcef Belmehdi intègre l'université de Sétif.
Il quitte l'université de Sétif en 1984 pour partir étudier à l'université des sciences islamiques Émir-Abdelkader de Constantine, dont il obtient une licence en jurisprudence islamique (fiqh) en 1988.
Il prend ensuite la direction du Levant, où il poursuit sa formation sur les bancs de la faculté de charia de l'université de Damas et de l'université Al Imam Al Ouzai de Beyrouth.
En 1993, il retourne à l'université Émir Abdelkader et y décroche cette fois une maîtrise avec les plus hautes distinctions en 1997.
En , il soutient avec succès sa thèse de doctorat en fondements de la religion musulmane (oussoul ad-dine) à l'université d'Alger[1].
Youcef Belmehdi est nommé Ministère des Affaires religieuses et des Wakfs par le président Abdelaziz Bouteflika le [2].
Le , en raison de la pandémie de Covid-19, le ministre annonce la suspension des prières en congrégation (jama'a), notamment celle obligatoire du vendredi[3].
Lors de la campagne électorale pour le référendum constitutionnel algérien de 2020, il crée une polémique en assurant que « voter « oui » au prochain référendum c’est se conformer aux recommandations du Prophète »[4].
En , Youcef Belmehdi annonce le lancement de la plateforme numérique Miqraa, qui a pour but de faciliter l'apprentissage du Coran aux élèves des pays du Sahel et d'Afrique ainsi qu'à la diaspora algérienne[5].
En , il demande aux imams détachés à la grande mosquée de Paris de « contrer la campagne féroce ciblant l’Algérie en œuvrant à la moralisation de la vie publique » et de « jouer un rôle positif en faveur de l'Algérie »[6]. Il se rend également en visite officielle en Égypte[7].
Le , il annonce, lors d'un discours à Tizi Ouzou, l'ouverture prochaine par l'Algérie d'un institut de formation en sciences islamiques à Agadès au Niger[8].
En plus d'avoir longtemps officié en tant que prêcheur (khatib) dans la mosquée de Staih à Bousaada où il dirigeait les prières de joumou'a, de l'Aïd al-Fitr et de l'Aïd al-Adha[réf. nécessaire], Youcef Belmehdi a occupé les fonctions suivantes[1] :