Dans l'article que nous présentons ci-dessous, nous aborderons le sujet de Setier, qui a fait l'objet d'intérêt et de débats dans diverses sphères de la société. Depuis ses origines jusqu'à sa pertinence aujourd'hui, Setier a fait l'objet de multiples interprétations et opinions, qui ont généré un vaste champ d'études et de recherches. Tout au long de cet article, nous explorerons les différents aspects entourant Setier, en analysant son impact dans divers contextes et en offrant une vision globale de son importance dans le monde d'aujourd'hui.
Le setier est une ancienne mesure de capacité, de valeur variable suivant les époques, les régions et la nature des marchandises mesurées.
Le mot provient du latin sextarius, qui veut dire « sixième partie » (sixième partie du conge, mesure de capacité pour les liquides d'environ 3 litres, soit 1⁄48 d'amphore)[1].
La surface ensemençable par un setier de grains était appelée « sétérée ».
Pour le grain et les matières sèches, le setier variait entre 150 et 300 litres[2] :
Le mot setier signifie un sixième. Cela suppose des unités non attestées de respectivement 144 pouces cubes et 2 304 pouces cubes, soit un pied cube un tiers. Chopine et velte étaient les termes légaux.
Le setier romain fut surtout une unité de volume pour les liquides, donc également pour les boissons. Valant environ 54 cl, il équivalait à la chopine. Le demi-setier est à l'origine du « demi » en France, un verre de bière d'environ 25 cl[5].