Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons parler de Salaam Remi. Salaam Remi est un sujet qui a suscité un grand intérêt dans la société ces derniers temps. Il est devenu une référence pour beaucoup, que ce soit en raison de son actualité, de son impact sur la vie quotidienne ou de son importance historique. Depuis son émergence, Salaam Remi a généré toutes sortes d’opinions et a fait l’objet de nombreuses études et recherches. Dans cet article, nous explorerons différents aspects de Salaam Remi, analyserons ses implications et discuterons de sa pertinence dans la société actuelle. Sans aucun doute, Salaam Remi est un sujet qui ne laisse personne indifférent et dont on peut apprendre beaucoup.
Salaam Remi Gibbs est le fils du musicien de studio Van Gibbs, qui l'aidera à débuter dans l'industrie musicale[2]. En 1986, Salaam Remi débute comme claviériste sur l'album Kingdom Blow de Kurtis Blow[2]. À la fin des années 1980, il se met au mixage son. En 1992, il produit pour le groupe de hip-hop Zhigge. À cette époque, il travaille également avec les Fugees, A Tribe Called Quest et Black Sheep. Il commence réellement à se faire un nom en travaillant avec de nombreux artistes célèbres tels que Lil' Flip (notamment le titre I Need Mine), Ini Kamoze (Here Comes the Hotstepper), The Fugees et leur album multi-platineThe Score, ou Toni Braxton et son titre You're Makin Me High[2].
Remi ne produit pas seulement des artistes américains : en 2002 il compose dix titres de l'album A Little Deeper de la britanniqueMs Dynamite, notamment le single à succès, Dy-Na-Mi-Tee. Il est également à la production du premier album d'Amy Winehouse, Frank, publié en 2003. Il sera également au rendez-vous de son deuxième opus, l'album au succès planétaire : Back to Black (2006). En 2006, il compose trois morceaux Feedback des Jurassic 5 et quelques-uns sur Hip Hop Is Dead de Nas.
Remi publie son tout premier projet solo, sur son site web salaamremi.com, intitulé Praguenosis! le [2],[3]. La chanson Praguenosis est façonnée dans la chanson The Black Bond, incluse dans l'album Life Is Good de Nas, l'un de ses travaux en 2012 qui mènera Remi à être nommé d'un Grammy dans la catégorie de « producteur de l'année, non-classique »[2],[4].
En 2013, Remi lance son propre label discographique appelé Louder than Life, une sous-division de Sony Music, et deux sous-labels, Re Mi Fa Music et Flying Buddha Records. New York: A Love Story de Mack Wilds est la première publication au label de Remi[5]. En , Remi publie son tout premier album solo, One: In the Chamber, au label Flying Buddha Records[2]. Il est initialement publié en téléchargement payant, puis sur les services payants comme iTunes, avec très peu de publicité malgré la participation notable de Ne-Yo, Corinne Bailey Rae, Jordin Sparks et Akon[2]. Il est néanmoins nommé d'un Grammy dans la catégorie de « meilleur album urban contemporain »[2]. L'album ne sera publié en format CD qu'à partir de , accompagné de chansons bonus[2].