Dans cet article, nous aborderons le sujet de Richard R. Schrock, qui est devenu de plus en plus pertinent ces dernières années. Richard R. Schrock est un sujet qui a suscité un grand intérêt tant dans la communauté scientifique que dans la société en général, en raison de son impact dans divers domaines. De ses origines à son évolution actuelle, Richard R. Schrock a fait l'objet de multiples enquêtes et débats qui cherchent à comprendre son influence sur notre environnement. Tout au long de cet article, nous explorerons différents aspects liés à Richard R. Schrock, en analysant son importance, ses implications et les perspectives futures possibles que ce sujet peut offrir.
En 2005, Schrock, Robert H. Grubbs et Yves Chauvin reçoivent le prix Nobel de chimie« pour le développement de la méthode de la métathèse en synthèse organique[1] ». Schrock est le premier à déterminer la structure et les mécanismes intervenant au niveau du catalyseur lors de la méthatèse des oléfines. Ses travaux menés chez DuPont ont impliqué la synthèse d'alkylidènes de tantale, considérés comme étant des intermédiaires clés du cycle catalytique lors de la métathèse des oléfines.
Entré au MIT, il poursuit l'étude de divers complexes de molybdène, et démontre le rôle crucial joué par les metallacyclobutadiènes au cours de la métathèse des alcènes.
(en) Autobiographie sur le site de la fondation Nobel (le bandeau sur la page comprend plusieurs liens relatifs à la remise du prix, dont un document rédigé par la personne lauréate — le Nobel Lecture — qui détaille ses apports)