Dans cet article, nous explorerons l'impact de Pierre Jansen sur différents aspects de la société moderne. Depuis son apparition sur la scène publique, Pierre Jansen a suscité un grand intérêt et un grand débat parmi les experts et les citoyens. Son influence s'est étendue à divers domaines, de la politique et de l'économie à la culture et au divertissement. Au cours des prochaines lignes, nous analyserons en détail comment Pierre Jansen a changé notre façon de vivre, de penser et de communiquer les uns avec les autres.
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Pierre Georges Cornil Jansen |
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Pierre Jansen, né Pierre Georges Cornil Jansen le à Roubaix[1] et mort le à Saint-Pierre-Saint-Jean[2] (Ardèche), est un compositeur français de musique contemporaine et de musique de film. Il a été notamment le collaborateur attitré de Claude Chabrol pour qui il a composé la musique de nombre de films.
Il fait ses premières études musicales au conservatoire de Roubaix (piano et harmonie) sous la direction d’Alfred Desenclos. Études supérieures au Conservatoire royal de musique de Bruxelles (prix de piano et d’harmonie). Études d’écriture avec André Souris (harmonie, contrepoint, fugue et orchestration).
À partir de 1952, suit régulièrement les cours d’Olivier Messiaen et participe aux Ferienkurse für die neue Musik à Darmstadt. En 1958, création à Darmstadt d’une suite pour piano et 18 instruments qui sera reprise à Paris au cours d’un concert du Domaine musical.
En 1960, il renonce à la musique d’avant-garde, et se consacre à la musique de film. Il collabore avec Claude Chabrol dont il devient le compositeur attitré jusqu'en 1980. Le réalisateur de la Nouvelle Vague dit à propos de Pierre Jansen : « J’ai rencontré un frère en musique », tandis que ce dernier qualifie sa rencontre avec Chabrol de « déterminante et inespérée »[3]. Il travaille ensuite avec Claude Goretta, Francis Girod et Pierre Schoendoerffer. Il collabore aussi pour la télévision en composant des musiques pour Serge Moati et pour Josée Dayan.
En 1985, il compose pour le cinéma muet, en collaboration avec Antoine Duhamel, une vaste partition pour grand orchestre destinée à accompagner les images du célèbre film de David Wark Griffith, Intolérance. Cette œuvre sera créée par l’Orchestre national d'Île-de-France (direction Jacques Mercier) et projetée en direct au Théâtre des Amandiers, puis au Festival d'Avignon.
Une version de ce film, nouvellement restauré fut réalisée en 2007. Elle a nécessité une nouvelle adaptation de la partition. Réenregistrée sous la direction de Jean Deroyer, elle fut diffusée sur Arte. Cette version est disponible en DVD.
Abandonnant peu à peu la musique de film car ne voulant pas tomber « dans la facilité commerciale », il se consacre alors à sa propre œuvre en composant des concerts.
Il a enseigné l’orchestration à l’École normale de musique de Paris, ainsi qu’au Conservatoire national supérieur de musique de Paris (CNSMDP).