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Dans la mythologie grecque, Parthénope (en grec ancien Παρθενόπη / Parthenópē) est une sirène. Elle est l'éponyme antique de la ville italienne de Naples.
Le nom Παρθενόπη / Parthenópē est composé de παρθένος / parthénos (« vierge », « jeune fille ») et de ὄπη / ópē (« aspect »), présent dans de nombreux anthroponymes féminins : il signifie « qui a l'aspect d'une jeune fille »[1].
Son nom peut aussi se référer à la voix elle-même comme le précise Jean-Noël Schifano[réf. nécessaire] : le mot grec όπις / ópis signifie l'ouverture (par laquelle on parle, on entend). Parthénope devient donc « celle qui a une voix virginale, de jeune fille ».
Selon certaines légendes, elle s'éprend d'Ulysse, mais ce dernier ordonne à son équipage de se boucher les oreilles avec de la cire et de l'attacher au mât de son propre navire. Humiliées et désespérées, Parthénope et ses deux sœurs, Leucosie (la blanche, du grec Λευκωσία / Leukōsía) et Ligie (à la voix claire, du grec Λίγεια / Lígeia), se seraient jetées à la mer pour se noyer[2],[3]. Parthénope se serait échouée près de Naples.
Selon certaines traditions, son tombeau serait à Caponapolis. Selon d'autres mythes, elle reposerait où se situe maintenant l'église de San Giovanni Maggiore (une plaque datant du IXe ou Xe siècle se trouve là-bas, gravée d'une invocation à la protection de Parthénope)[4]. Personne ne sait qui l'enterra, et sa tombe fut cherchée à plusieurs reprises, sans jamais être découverte. Certains textes disent que Junon l'aurait transformée en une des pierres sur lesquelles la ville de Naples est fondée[réf. nécessaire].
Strabon mentionne que son temple se situait dans la ville de Néapolis (actuelle Naples), où les habitants célébraient des jeux gymniques en son honneur[5],[3].
Cette légende fit de la péninsule sorrentine la terre des sirènes. Un temple n'existant plus aujourd’hui s’élevait sans doute entre Massa Lubrense et la côte, en mémoire et en honneur à Parthénope et ses deux sœurs[6].
Le lien entre la ville de Naples et Parthénope est très fort[7]. Celle-ci symbolise pour Naples virginité, chant et mort. La sirène a d'ailleurs donné naissance à l'adjectif Partenopeo, parfois utilisé en italien à la place de napolitain[8], par exemple pour la République parthénopéenne proclamée lors de l'occupation par les troupes françaises de la ville lors de la deuxième campagne d'Italie.
Ce mythe a inspiré plusieurs librettistes et compositeurs qui en ont fait des opéras :
La sirène est aussi le sujet d'un poème intitulé Parthenope. Ein Seegemählde bei Neapel de Johann Gottfried Herder.