Nu Hydrae

Dans le monde d’aujourd’hui, Nu Hydrae est devenu un sujet d’intérêt général de plus en plus pertinent. Avec l’avancée de la technologie et les changements de la société, Nu Hydrae a non seulement retenu l’attention des spécialistes du domaine, mais aussi du grand public. C'est pourquoi il est crucial d'approfondir les aspects les plus pertinents de Nu Hydrae, afin que son impact puisse être compris dans différents domaines et contextes. Dans cet article, nous approfondirons l'analyse de Nu Hydrae, explorant ses différentes dimensions et ses implications aujourd'hui. De ses origines à son évolution actuelle, nous verrons comment Nu Hydrae a façonné notre façon de comprendre le monde qui nous entoure.

ν Hydrae
Données d'observation
(époque J2000.0)
Ascension droite 10h 49m 37,489s[1]
Déclinaison −16° 11′ 37,14″[1]
Constellation Hydre
Magnitude apparente 3,11[2]

Localisation dans la constellation : Hydre

(Voir situation dans la constellation : Hydre)

Localisation dans la constellation : Coupe

(Voir situation dans la constellation : Coupe)
Caractéristiques
Type spectral K1,5III −0,5[3]
Indice U-B +1,30[2]
Indice B-V +1,25[2]
Indice R-I +0,64[2]
Astrométrie
Vitesse radiale −1,37 ± 0,25 km/s[4]
Mouvement propre μα = +93,35 mas/a[1]
μδ = +198,88 mas/a[1]
Parallaxe 22,69 ± 0,23 mas[1]
Distance 144 ± 1 al
(44,1 ± 0,4 pc)
Magnitude absolue −0,11[5]
Caractéristiques physiques
Luminosité 173 L[5]
Métallicité = −0,20 ± 0,03[5]

Désignations

ν Hya, 4 Crt, HD 93813, HIP 52943, HR 4232, BD-15°3138, FK5 410, LTT 3973, SAO 156256[6]

Nu Hydrae (ν Hya / ν Hydrae) est une étoile de la constellation de l'Hydre, située vers la limite avec la Coupe. Sa magnitude apparente est de 3,11[2]. D'après la mesure de sa parallaxe annuelle par le satellite Hipparcos, l'étoile est située à environ ∼ 144 a.l. (∼ 44,2 pc) de la Terre[1]. Elle se rapproche quelque peu du Système solaire à une vitesse radiale de −1 km/s[4].

Nu Hydrae est une étoile géante rouge de type spectral K1,5III −0,5[3]. Elle est environ 173 fois plus lumineuse que le Soleil[5].

Nu Hydrae porte la désignation de Flamsteed de 4 Crateris. John Flamsteed, dans son catalogue d'étoiles, incluait parmi les constellations l'Hydre (Hydra) ainsi que « l'Hydre et la Coupe » (Hydra & Crater). Cette dernière incluait indifféremment les étoiles de la Coupe à proprement parler et les étoiles de l'Hydre qui sont situées en dessous ou à côté d'elle, les frontières entre les deux constellations étant alors mal définies[7].

Références

  1. a b c d e et f (en) F. van Leeuwen, « Validation of the new Hipparcos reduction », Astronomy & Astrophysics, vol. 474, no 2,‎ , p. 653–664 (DOI 10.1051/0004-6361:20078357, Bibcode 2007A&A...474..653V, arXiv 0708.1752)
  2. a b c d et e (en) D. Hoffleit et W. H. Warren, « Bright Star Catalogue, 5e éd. », Catalogue de données en ligne VizieR : V/50. Publié à l'origine dans : 1964BS....C......0H, vol. 5050,‎ (Bibcode 1995yCat.5050....0H)
  3. a et b (en) Philip C. Keenan et Raymond C. McNeil, « The Perkins catalog of revised MK types for the cooler stars », The Astrophysical Journal Supplement Series, vol. 71,‎ , p. 245 (DOI 10.1086/191373, Bibcode 1989ApJS...71..245K)
  4. a et b (en) Alessandro Massarotti et al., « Rotational and radial velocities for a sample of 761 HIPPARCOS giants and the role of binarity », The Astronomical Journal, vol. 135, no 1,‎ , p. 209–231 (DOI 10.1088/0004-6256/135/1/209 Accès libre, Bibcode 2008AJ....135..209M)
  5. a b c et d (en) E. Anderson et Ch. Francis, « XHIP: An extended Hipparcos compilation », Astronomy Letters, vol. 38, no 5,‎ , p. 331 (DOI 10.1134/S1063773712050015, Bibcode 2012AstL...38..331A, arXiv 1108.4971)
  6. (en) * nu. Hya -- High Proper Motion Star sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.
  7. (en) M. Wagman, « Flamsteed's Missing Stars », Journal for the History of Astronomy, vol. 18,‎ , p. 216 (Bibcode 1987JHA....18..209W)

Liens externes