Dans cet article, nous explorerons diverses facettes de Nikon S, en approfondissant son importance, ses implications et sa pertinence dans le domaine _var2. Depuis ses origines jusqu'à son évolution actuelle, Nikon S a joué un rôle fondamental dans _var3, influençant grandement _var4. Tout au long de cette analyse, nous examinerons les différentes perspectives qui ont émergé autour de Nikon S, en considérant ses effets sur _var5 et son impact sur _var6. Avec un regard critique et détaillé, nous approfondirons les aspects les plus pertinents de Nikon S, découvrant ses connexions avec _var7 et son potentiel pour _var8. À travers ce voyage, nous cherchons à élargir la compréhension de Nikon S et de son implication dans le monde d'aujourd'hui.
Nikon S | |
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Type | Télémétrique |
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Format de pellicule | 135 |
Format d'image | 24 x 34 mm |
Monture porte-objectifs | Nikon S (en) |
Obturateur | Plan focal à rideaux en tissu |
Temps de pose | 1s - 1/500s, B |
Modes de mesure | Manuelle |
Modes d'exposition | Manuelle |
Viseur | À télémètre |
Mise au point | Manuelle |
Chargement du film | Manuel |
Compteur de vues | Automatique |
Dimensions (l × h × p) | 144,9 mm x 803 mm x 431 mm |
Poids | Environ 645 g |
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Le Nikon S est un appareil photographique télémétrique fabriqué entre 1950 et 1955[1] par la société Nikon. Il s'agît d'une évolution du Nikon M, son prédécesseur, doté cette fois-ci d'une synchronisation-flash.
C'est un appareil qui utilise du film 135 mais qui produit des images au format 24 x 34 mm. Il est doté d'un obturateur plan focal en tissu dont la vitesse d'obturation maximale est de 1/500s. L'avance du film et l'armement de l'obturateur se font via une molette.
Le bouton de rembobinage est plus petit que sur le M et le marquage MIOJ (Made In Occupied Japan) disparait[2].
Il est le successeur du Nikon M et le prédécesseur du Nikon S2.