Dans cet article, nous analyserons Michel Mourlon sous différentes perspectives afin de comprendre son impact dans différents contextes. Michel Mourlon est un sujet qui a suscité un grand intérêt ces dernières années, en raison de sa pertinence dans le domaine social, politique, économique, culturel, entre autres. Tout au long de cette analyse, nous examinerons les différentes dimensions qu'englobe Michel Mourlon, ainsi que son évolution dans le temps et son influence sur la société actuelle. De plus, nous explorerons les différentes interprétations et opinions qui existent autour de Michel Mourlon, dans le but de fournir une vision large et complète de ce sujet.
Conservateur de musée Musée des sciences naturelles de Belgique |
---|
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Formation |
Université libre de Bruxelles (en) |
Activité |
Membre de | |
---|---|
Distinction |
Michel Mourlon (né à Molenbeek-Saint-Jean, le - décédé à Watermael-Boitsfort le ), docteur en sciences naturelles de l'Université libre de Bruxelles, est un géologue, paléontologue, qui fut également conservateur du Muséum des sciences naturelles de Belgique.
Michel Mourlon est le fils de Charles Mourlon (1810 - 1875), officier français puis industriel, et de Sophie Gendebien (1815-1883), qui s'étaient mariés à Bruxelles[1] en 1844. Il est le petit-fils d'Alexandre Gendebien.
En 1863, il est docteur en sciences naturelles[2]. Il est fait agrégé à la suite de la défense d'une thèse qui portait sur des travaux effectués au centre de la France. En , il est nommé conservateur au Musée d'Histoire Naturelle.
Il collabore à la carte géologique de la Belgique, dont la réalisation fut confiée en 1878 au directeur du Musée d'Histoire Naturelle, Édouard Dupont. Michel Mourlon s'occupe particulièrement du Dévonien.
Il devient membre correspondant (1876) puis membre (1886) de l'Académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles.
Le gouvernement décide, par décret du , de créer un service administratif de géologie rattaché à l'Administration des mines[3]
Michel Mourlon obtient le grade d'inspecteur des mines. Il prend sa retraite en 1912, comblé de distinctions honorifiques.
Il avait épousé à Bruxelles[4] en 1875 Julie Borel, fille d'un consul de Suisse. La sœur de Julie, Mathilde Borel, avait épousé en 1870 Auguste Beernaert, futur premier ministre de Belgique et prix Nobel. Auguste Beernaert n'ayant pas eu d'enfants, les fils de Michel Mourlon et de Julie Borel furent autorisés à s'appeler Mourlon Beernaert.