Aujourd'hui, je veux vous parler de Louis Maimbourg. Ce sujet est de la plus haute importance et pertinence aujourd’hui, car il a un impact significatif sur nos vies. Tout au long de cet article, nous explorerons différents aspects liés à Louis Maimbourg, de son origine à son impact sur la société. De plus, nous examinerons comment Louis Maimbourg a évolué au fil du temps et quelles implications cela a pour l'avenir. Sans aucun doute, Louis Maimbourg est un sujet qui mérite notre attention et notre réflexion, j'invite donc tout le monde à continuer la lecture pour en savoir plus sur ce sujet passionnant.
Naissance | |
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Décès |
(à 76 ans) Paris |
Pseudonyme |
François Romain |
Nationalité | |
Activités |
Ordre religieux |
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Louis Maimbourg, né le à Nancy et mort le à Paris, est un homme d’Église et historien lorrain. Il fut jésuite de 1626 à 1682.
Maimbourg entra en 1626 chez les jésuites. Après un temps comme enseignant à Dijon (1630-1634) il fit des études de théologie qu'il commença à Paris (1634-1636) et poursuivit à l'université grégorienne de Rome (1636-1638). Il fut ordonné prêtre en 1637. Il enseigna pendant dix ans les humanités au Collège des jésuites de Rouen, puis devint prédicateur. Il soutint de violentes polémiques avec les jansénistes et contesta notamment leur traduction de la Bible. Sa défense publique et vigoureuse de Louis XIV, dans le conflit qui l'opposait au pape Innocent XI lui valurent d’être expulsé de son ordre par le pape en 1681, mais Louis XIV lui octroya une pension et le droit de résider à l’abbaye Saint-Victor de Paris.
Il fut un historien prolifique dont Voltaire regrettait qu’il fût trop méconnu et dont il disait dans son Siècle de Louis XIV : « Il y a encore quelques-unes de ses histoires qu’on ne lit pas sans plaisir. Il eut d’abord trop de vogue, et on l’a trop négligé ensuite. Ce qui est singulier, c’est qu’il fut obligé de quitter les jésuites, pour avoir écrit en faveur du clergé de France. » (Catalogue de la plupart des écrivains français qui ont paru dans le Siècle de Louis XIV, pour servir à l’histoire littéraire de ce temps, 1751).
Pierre Bayle se fit en revanche beaucoup plus critique de son œuvre, en particulier de son Histoire du calvinisme (Critique générale de l’histoire du calvinisme de Mr Maimbourg, 1683), ainsi que l'avait fait Jean Rou plus tôt (Remarques sur l'histoire du calvinisme de Mr Maimbourg, 1682).