Dans le monde d'aujourd'hui, Liste des chevaliers de l'ordre de Saint-Michel est devenu un sujet d'un grand intérêt et d'une grande pertinence dans divers domaines de la société. De la sphère scientifique à la sphère politique, Liste des chevaliers de l'ordre de Saint-Michel a attiré l'attention des chercheurs, des universitaires, des dirigeants et des citoyens en général, générant d'intenses débats et analyses autour de ses implications et répercussions. Dans cet article, nous explorerons en détail les différentes facettes et perspectives de Liste des chevaliers de l'ordre de Saint-Michel, en examinant son impact aujourd'hui et les projections possibles pour l'avenir. De son origine à son évolution, en passant par ses effets sur le présent, nous plongerons dans une analyse complète et exhaustive de Liste des chevaliers de l'ordre de Saint-Michel, abordant ses aspects positifs, négatifs et controversés.
Jérôme d’Aradon seigneur de Quinipilly, de Quelen et de Vieuxchastel, gouverneur de Quimperlé et d’Hennebont, commandant la cavalerie légère en Bretagne, maréchal des camps et armées du Roy, et cap. de 50 hommes d’armes de ses compagnies d'ordonnance, par lettres du , fut admis dans l'Ordre de Saint-Michel sous le règne d’Henri III ; et on le trouve qualifié chevalier de l’ordre du Roi dans un acte du .(Tit. de MM. du Botderu de Kerdreo.) Il obtint, au mois d', des lettres de grâce du Roy Henri IV, contre lequel il avait pris le parti de la Ligue. Il vivait encore en 1607. Note Jérôme d’Aradon, frère de René qui précède, a laissé sur la période des guerres civiles, de 1589 à 1593, un journal, dont un extrait seulement a été inséré par D. Taillandier au sup. du T. II de l’Hist. de Bretagne[2].
René de Baglion de la Dufferie (olim Baglioni), 1610-1693, baron de Pocé et de Marçon, seigneur de la Dufferie, de la Marie, de Bouère et de la Vézouzière, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi. Louis XIV lui confère le collier de Saint-Michel en récompense de ses services (Lettres expédiées à Paris le ).
Philippe de Créquy (1479-1566), seigneur de Bernieulles, Bléquin et Wicquenhen, capitaine de 100 hommes d’armes des compagnies d'ordonnance du Roi, Gouverneur, Capitaine & Bailli de Thérouanne.
René II du Crochet, seigneur des Prés et de La Châtellenie de Céton, de La Prousterie, de La Souttière, de La Joussetière, de Francvilliers, de Maison-Maujis et de La Motte, reçu le .
Pierre Dax, écuyer, seigneur de La Serpent, de Mornac, de Leuc, de Bouriège, d'Araignon, de Croux, de Teissonnières et autres lieux, capitaine de cent hommes d'armes des compagnies d'ordonnance du Roi, capitaine d'une compagnie de chevau-légers, gouverneur militaire pour le Roi des diocèses de Limoux et d'Alet, reçu chevalier de l'Ordre par lettres de cachet du roi Charles IX de 1571 par lesquelles « il le reçoit à l'assemblée des chevaliers, frères et compagnons de l'Ordre de Monsieur Saint-Michel, pour être associé à la dite Compagnie à cause de ses vertus et mérites… » et lui adresse le collier de l'ordre[8],[9].
Ambroise II des Escotais (1595-1643), seigneur de la Chevalerie, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi[15],[16].
F
Claude Fleuriot, sieur de Kerlouet : « Lettre du Roy audit sieur de Kerloet, par laquelle il lui mande que les services qu’il lui avoit rendus en diverses occasions lui donnoient sujet de reconnoistre ses vertus et merites, en l’honorant du collier et ordre de Monsieur Saint-Michel, lequel lui seroit donné par le sieur baron de Pontchateau, suivant la commission que Sa Majesté lui en adressoit à cet effet, s’assurant que ce tesmoignage d’honneur l’obligeroit à continuer en la fidelité et affection qu’il devoit à son service. Ladite lettre dattee du 8e Decembre 1639, signee : Louis, et plus bas : de Lomenie. Commission donnee audit sieur baron de Pontchateau, pour bailler audit Claude Fleuriot, sieur de Kerloet, le collier dudit Ordre de Saint-Michel et de prendre de lui le serment et les soumissions portee par justification, que Sa Majesté lui envoyoit en recompense des merites et vertus dudit sieur de Kerloet et reconnoissance des bons et agreables services qu’il avoit rendu à Sadite Majesté es sieges de la Rochelle et Montauban et autres occasions qui s’etoient presentees, ou il avoit rendu des preuves de sa valleur. Ladite commission dudit jour 8e Decembre 1639, signé : Louis, et plus bas, par le Roy, Chef de l’Ordre de Saint-Michel : de Lomenie ».
Jehan IV du Fou, chevalier, seigneur de La Roche-Guéhenneuc, baron de Pirmil, châtelain de Noyen, seigneur du Clineuc, de La Fourelière, de La Plesse-Chamaillart, du Breil-Robert, de la forêt de Minclou, de Coriller, de Voisines et autres lieux, chevalier avant 1578. Il portait d'azur à l'aigle d'or[17].
Raoul du Fou, 35e abbé de Saint-Thierry près de Reims en 1461, élu et confirmé évêque de Périgueux par le souverain-pontife le 6 des ides juin de 1468 puis évêque d’Angoulême et abbé commendataire de Nouaillé en 1470, évêque d'Evreux en 1479, abbé de Saint-Maur en 1491, de Saint-Taurin d’Evreux en 1502 et enfin prieur de Coudres dans l’Eure, tout en étant resté abbé de Nouaillé, jusqu’à sa mort survenue le . Il fut inhumé dans la cathédrale d’Evreux, où on peut encore lire : « Hic jacet memorande recordationis D. Rodolphus du Fou, quem genuit inclyta Britannia, Coriopitemsis Dioecesis, ortu nobilis, moribus clarissimus, religionis decore venustus, bujusce Ecclesia annes 32. Pastor dignissimus, anantissimus pacis zelotes, magnificontissimus adificiorum restorator, liberalissimus elamesynarum largitor, invicibilis Ecclesiasticrum jurium defensor, ac in omnibus fidelissimus minister, obiit 2 februarü anno 1510 » Raoul du Fou avait pour armoiries : d’azur à une fleur de lys d’argent, chargée de deux faucons ou éperviers qui portent un pied sur la partie de la fleur de lys recourbée et élèvent l’autre sur le haut de la fleur de lys, avec cette devise : CHARITAS NVNQVAM EXCIDIT[18].
Gabriel de Gep de Ginestet (1514-1586), nommé gentilhomme de la chambre du roi Charles IX le , capitaine châtelain de Cessenon, seigneur de Fos, Sauvian et Ginestet, reçu en 1576.
Isaac de Germaincourt, écuyer, baron de La Guéhardière et des Touches, seigneur de Buffes, de Launay-Briand en Saint-Jean de La Motte et autres lieux, huguenot, décédé avant , présent à la séance du Consistoire du Mans le , chevalier de l'Ordre du Roy, gouverneur de Saint-Suzanne du à , épousa en premières noces Marie de Vallée, fille de Louis de Vallée, écuyer, seigneur de Pescheray, de Commeronde, de La Motte-Sérant et autres lieux, gouverneur du Perche pour la Ligue, et de Louise de Montmorency, et en secondes noces par contrat de Louise de Coisnon, dame de La Ménarderie en Saint-Marceau, née en 1538, testa le , fille de Pierre de Coisnon, écuyer, seigneur de La Roche-Coisnon et du Vau-Péan en Ruillé, de Noyreulx et autres lieux, présent à la bataille de Ravenne le , et de Suzanne de Vassé, testa le et fut inhumée en l'église de Ruillé, dont postérité.
Guy de Gontaut, seigneur de Saint-Geniès, de Cazals et de la Chapelle au Bareil, baron de Badefol, époux de Claude de Salignac, fils de Jean Ier de Gontaut et de Philippe d'Aubusson. Il fait son testament le [20].
Vincent de Kerveno, baron de Kerveno, seigneur de la Guerche, de Baud et de Kerlan, commandant la noblesse du ban et arrière-ban du diocèse de Vannes dès l’an 1538 et encore en 1572, fut admis dans l’Ordre de Saint-Michel sous Charles IX et de Julienne de Coëtquen. Il mourut au mois d’[2].
Georges de Kerveno, fils du précédent, chevalier, baron dudit lieu et de Baud, seigneur de Kerlan en Moréac, de Kermenguy en Plaudren, de La Guerche et autres lieux, né en 1566 et tué en 1592 à la tête de 100 chevau-légers et de 200 arquebusiers dans un engagement près d’Auray, capitaine des Gentilshommes de l’Evêché de Vannes, chevalier de l’Ordre du Roy, épousa Suzanne du Fou, fille unique et héritière du baron de Noyan et de Jeanne de Maillé[2].
François de Kernevenoy, dit de Carnavalet (1519-1571), Grand Écuyer du Roi Henri II, seigneur de Noyen, de Coatanlan et Kerjanegan, de Vielzvy, de Coetmadeuc, de Kernevenoy, de Fontaine-Fourches, de Grisy.
Jaques de Kermenguy, seigneur de Kermenguy, de Lebodon, de Runiou, de Kersullien, etc., né en 1626, nommé chevalier de l’ordre de Saint-Michel, le 17 janvier 1647, et reçu le 16 juillet de la même année par le baron de Pontchâteau, chevalier des ordres du roy, vivoit encor en 1669[2].
Gaspard de La Châtre (vers 1539-1576), seigneur de Nançay, fils du précédent, capitaine de l'ancienne garde française du corps de sa majesté, capitaine des Gardes du corps du Roi.
Sébastien Le Bigot, (mort en 1666 à Poullaouen) seigneur de Kerjegu, de Kercalvez, de Lesmabon et autres lieux, capitaine d'Infanterie du Roi.
Emmanuel Leborgne (1610-1681), Marchand et banquier influent de La Rochelle, il devient gouverneur de l'Acadie de 1657 à 1667. Il épouse Jeanne François en 1635 et devient Chevalier de L'Ordre de Saint-Michel en 1636.
François Le Héricy, seigneur de Creullet, de la Motte d'Audrieu et de Couvert, nommé gentilhomme de la chambre du roi par les lettres données au bois de Vincennes le .
Antoine Le Roy de Lozembrune (1617-1678) écuyer, seigneur de Lozembrune, de Belleverdure et de Montobert, président de la sénéchaussée du boulonnais, conseiller d'état et privé.
Charles Le Brun (1619-1690) artiste-peintre et décorateur français, premier peintre du roi, directeur de l'Académie royale de Peinture et de Sculpture, et de la Manufacture royale des Gobelins. Il s'est surtout illustré dans la décoration du château de Versailles et de la galerie des Glaces.
Bernard de Lentivy, prêta serment le (BnF MsFr 22344, fol.157).
Louis Malet, sire de Graville, de Marcoussis, de Sèez, de Bernay, de Montagu, de Milly en Gâtinois, du Bois-Malesherbes & de Chastres, Amiral de France, gouverneur de Picardie & de Normandie, capitaine des cent gentilshommes de sa maison.
Guy de Manger, écuyer, seigneur de Goussainville, décédé entre le et le , chevalier de l'ordre du Roy.
Jean de Marliave (ou Maralver) de La Pause, capitaine d'infanterie. Chevalier de grâce des ordres de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem reçu le .
Jacques du Merle (+ 1599), seigneur de Blancbuisson, baron de Bellou, gentilhomme de la chambre du roi, sert le roi Henri IV puis le duc de Montpensier dans les guerres contre les ligueurs.
André de Montalembert, dit « le brave d’Essé », capitaine de 50 hommes d’armes, gentilhomme de la chambre, lieutenant-général commandant en chef les armées du roi Henri II envoyées en Ecosse au secours de Marie Stuart, future reine de France. Fait chevalier de l’Ordre du roi par Henri II.
Christophe de Montalembert, capitaine de 50 hommes d’armes, conseiller d’Etat, maître d’hôtel de la reine de Navarre, gouverneur de Penne d’Agenais. Fait chevalier de l’Ordre du roi par Henri III.
Jean Joseph de Pellas, seigneur de Maillane, général des Monnaies de Provence, comte romain et apostolique par Benoît XIII, chevalier le [40].
Jacques de Pelet, (ca1520-1587) seigneur de La Vérune, baron de Montpeyroux, Gouverneur militaire de Montpellier, chevalier de Saint Michel en 1573, Chancelier de l'Ordre du Roi[41]
Philippe Pot (1428-1493), diplomate, premier conseiller du roi Louis XI, gouverneur du dauphin Charles (futur Charles VIII), et grand sénéchal de Bourgogne.
Louis Prévost, baron de Sansac et de Cellefroyn, lieutenant du roi en Angoumois et en Guyenne, sénéchal de Saintonge, Grand Fauconnier de France, grand capitaine du XVIe siècle.
Louis Guillaume Yves Pons (1748-1836), entrepreneur des fortifications, entrepreneur des travaux du port de Port-Vendres, ingénieur géographe du roi, maître de camp. Chevalier en 1788[42].
Charles de Rohan-Gié (1478-1528), vicomte de Fronsac, comte de Guise. Gouverneur de Touraine.
Pierre de Rohan-Gié (1451-1513), sire de Gié, duc de Nemours, vicomte de Fronsac et de Châtellerault, maréchal de France (1474)[43].
Antoine II de Roquefeuil, fils de Charles de Roquefeuil, seigneur baron de Roquefeuil et de Blanquefort et de Blanche de Lettes de Montpezat. Il épouse en 1555 Claude de Cardaillac de Peyre puis en 1560 Philippine de La Tour d'Auvergne-Turenne.
Antoine III de Roquefeuil, fils d'Antoine et de Claude de Cardaillac. Il épouse Marie-Angélique de Rochechouart le 11 mai 1584.
Charles de Roquefeuil, fait chevalier de l'ordre du roi par lettres du . Il est le frère d'Antoine II de Roquefeuil et fils de Charles de Roquefeuil, seigneur baron de Roquefeuil et de Blanquefort et de Blanche de Lettes de Montpezat[44].
Anthoine de Rougemont (olim Rogemont) (+ 1578 - Macon), seigneur de Rougemont, Pierreclos, Bussy et Bussière, chargé par le duc de Nemours de la Lieutenance en Dombes par Lettre Patente du [45].
Jean de Rougemont (olim Rogemont) (+ 1595), seigneur de Rougemont, Pierreclos, Bussy et Bussière, fils du précédent[45].
Antoine de Bron de Rougemont (olim Rogemont) (circa 1604), seigneur de la Liègue Bellegarde, comte de Bozas et autres place, capitaine de cinquante hommes d'armes. Il avait épousé Jeanne de Sassenage[46].
Titus de Rouvroy de Saint-Simon (+1609 - Paris), vicomte de Clastres, seigneur de Serviennois, seigneur de Flavi-le-Martel, seigneur de Montblerú, chevalier de l'Ordre de Saint-Michel.
Charles de Rambures dit le brave Rambures, un document représentant les armes des Rambures avec le collier de l'Ordre de Saint Michel et de l'Ordre de Saint-Louis. L'inscription précise Charles de Rambures conseiller d'état, capitaine de cinquante hommes d'armes, gouverneur de la ville et château de Doulens. Maréchal de camp pour sa Majesté en Picardie. Voir « Maison de Rambures Histoire et Généalogie ».
Samson de Saint-Germain, Baron de Ranes, Baron d'Asnebec, Seigneur de Rouvrou, de la Fresnaye et de Saint-Georges (1469).
Pierre Saintard, directeur de la Compagnie des Indes ().
Gaspard de Saulx-Tavannes (1554), dit le maréchal de Tavannes, second des trois fils du mariage en 1504 de Jean de Saulx, baron de Sully, seigneur d'Orrain (Orain) et de Vantoux, Grand gruyer de Bourgogne, avec Marguerite de Tavannes, naît à Dijon en mars 1509.
Piero Strozzi, cousin de Catherine de Médicis, connu en France sous le nom de Pierre Strozzi (vers 1510-1558), condottiere florentin de la Renaissance, s'engage au service de la France et devient maréchal de France en 1554.
Pierre-Ignace Tugghe, échevin puis conseiller pensionnaire (conseiller juridique) de Dunkerque, anobli en 1721 par Louis XV, année de son élévation en tant que chevalier de l'ordre[47].
↑Joseph Vaesen et Étienne Charavay, Lettres de Louis XI, tome VI, p.153, note no 1, Librairie Renouard, Paris 1898 ; d'après Comte H. de Chabannes, Histoire de la maison de Chabannes, (Dijon 1894) p.354 et suivantes ; ainsi que « …nostre chier et feal cousin, conseillier et chambellan le sire de Curton, chevalier de nostre ordre et gouverneur de Limosin,… » (lettre de Louis XI expédiée le 23 mai 1478 au parlement de Paris), publiée par Joseph Vaesen et Étienne Charavay, Lettres de Louis XI, tome VII, p.67, Librairie Renouard, Paris 1900
↑Franc̜ois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume, Paris, La veuve Duchesne,
↑Par lettres du 15 juin 1473 (Archives d'Isère , B2901, fol.400 v°), selon Joseph Vaesen et Étienne Charavay, Lettres de Louis XI, tome II, p.100, note n°4, Librairie Renouard, Paris 1885
↑ ab et cJean Villain, La France moderne, tome 3, page 731 et Hubert Vergnette Lamotte, Filiations languedociennes, tome 2, page 14
↑ ab et cLouis-Pierre d'Hozier « Armorial général de la France », Firmin-Didot 1738, volume 1, pp. 186-188 lire en ligne
↑Claude de Vic, Joseph Vaissete, Ernest Roschach, Histoire générale de Languedoc avec des notes et les pièces justificatives, 1845, vol. 9, p. 323-324lire en ligne
↑François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Dictionnaire De La Noblesse : Contenant les Généalogies, l'Histoire & la Chronologie des Familles Nobles de France, , 761 p., de Durat, Page 693
↑ a et bNicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, tome IV (lire en ligne), p. 144
↑ a et bHozier, Volumes reliés du Cabinet des titres : Recueil historique de l'Ordre de Saint-Michel, établi sur titres, actes et documents authentiques et d'après les historiens les plus accrédités, tome III (lire en ligne), p. 67
↑« Le Roi, faisant droit à l’humble supplication de son bien ame messire Jehan du Fou, chevalier de son Ordre, commet le 11 juillet 1578… »
↑Louis Moréri, Nouveau supplément au grand dictionnaire historique, généalogique, géographique, etc., tome second, Paris, M. D. CC. XLIX. Noms des officiers de l’Ordre de Saint-Michel, depuis son établissement en 1469. Chancelliers. Il est dit par l’article 12. que le chancelier sera archevêque, évêque ou en dignité notable dans l’église, &c. & par l’article 81. que la messe haute sera célébrée par le chancelier, s’il est présent, ou par autre ordonné par le roi. Le prieuré de Vincennes, ordre de Gramont, a été affecté aux chanceliers ; & ils en ont loui jusqu’au chancelier de Chiverni, qui étoit marié lorsqu’il fut pourvu. Le chancelier a la garde des sceaux, & scelle en cire blanche. Raoul du Fou, évêque d’Evreux, chevalier de l’Ordre, mourut le 2. Février 1510. ou 1511. avant Pâques. Le collier de saint Michel se trouve autour de ses armes dans l’église d’Evreux, & sur des édifices qu’il avait fait construire.
↑V. E. Pillet, « Antoine de La Luzerne-Garaby », Annuaire du département de la Manche, Julien-Gilles Travers, 28e année - 1856, p. 68 (lire en ligne).
↑Histoire généalogique et héraldique des pairs de France par Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles - Volume 2 - p. 71.
↑François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, (lire en ligne), p. 719
↑Société de géographie de l'Est, Bulletin, Berger-Levrault and cie., (lire en ligne)
↑Ambroise PELLETIER, Nobiliaire, ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, en forme de Dictionnaire, etc. où se trouvent les armes gravées, etc. Tome premier, contenant les annoblis, , 846 p. (lire en ligne), p. 391.
↑Samuel Guichenon, Histoire de Bresse et de Bugey : Partie 2 : Contenant les fondations des Abbayes, Prieurez, Chartreuses, Egliſes Collegiales & les Origines des Villes, Chaſteaux, Seigneurs & principaux Fiefs, Lyon, Jean Antoine Huguetan & Marc Antoine Ravaud, , 109 p. (BNF30554993, lire en ligne), p. 25.
↑Waroquier de Méricourt de La Mothe de Combles, Louis-Charles de (1757-1794), Généalogie de la maison de Waroquier, seigneurs du Bos d'Alas d'Anisy, dit le Bos de Péelu, Viel-Dampierre, Freny, Signemont, Blesme, Le Fresne, Boudeaux, Lesclayoles, Saint-Arger, La Motte, Planques, La Mothe, Combles, Méricourt, Chartrelle, Saint-Affrique, etc. Dressée sur titres originaux et sur des jugemens des cours souveraines, ordonnances des commissaires et intendans des provinces, etc., Paris, , 30 p. (lire en ligne)
Annexes
Sources et bibliographie
Ludovic de Colleville, François Saint-Christo, Les ordres du roi, répertoire général contenant les noms et qualités de tous les chevaliers des ordres royaux militaires et chevaleresques ayant existé en France de 1099 à 1830, 1924.
Jean-Baptiste Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil-d’état, publiée sur les éditions officiels du Louvre ; de l’imprimerie nationale, par Baudouin ; et du bulletin des lois, de 1788 à 1824 inclusivement, par ordre chronologique, Paris, 1827.
. = . – Ordonnance du Roi portant nomination de chevaliers de l’ordre de Saint-Michel. (VII, Bull. CXXIX, n°1461.)
Louvart de Pontigny, ancien avocat au Parlement de Rennes.
Ordre de Saint-Michel, promotions de 1817: Louvart de Pontigny, ancien avocat au Parlement de Rennes.
Jean Francois Louis D'Hozier, Gaston de Carne (dir.), Chevaliers bretons de Saint-Michel, Nantes, 1884 (1re éd.), Kessinger Publishing, , (ISBN978-1167966439)