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Titre original | Topaz |
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Réalisation | Alfred Hitchcock |
Scénario |
Roman : Leon Uris adaptation : Samuel A. Taylor |
Acteurs principaux | |
Pays de production |
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Genre | Espionnage, thriller |
Durée | 121 minutes |
Sortie | 1969 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
L’Étau (Topaz) est un film d'espionnage américain réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1969.
Les personnages sont notamment joués par Frederick Stafford, Dany Robin, Claude Jade, Michel Subor, Michel Piccoli et Philippe Noiret.
Le film est adapté du roman de Leon Uris, Topaz, qui est à son tour librement inspiré de la véritable affaire Saphir de 1962[1], qui se nomme aussi l'affaire Martel.
Au Danemark en 1962, des agents américains organisent l’évasion d’un haut fonctionnaire soviétique, de son épouse et de sa fille. Les Américains veulent obtenir des renseignements sur les activités des Soviétiques à Cuba et apprennent que l'Union soviétique a l'intention d'y livrer des missiles (cela arriva effectivement lors de la crise des missiles de Cuba).
Nordstrom (John Forsythe), un agent de la CIA, retrouve son collègue français, André Devereaux (Frederick Stafford), qui est accompagné de son épouse, Nicole (Dany Robin), de sa fille, Michèle (Claude Jade) et de son gendre, François Picard (Michel Subor), qui sont en voyage de noces. La rencontre familiale à New York est bloquée par l'action d'André et d'un Martiniquais (Roscoe Lee Browne) à l'hôtel, où sont descendus les diplomates cubains qui venaient assister à une session de l'ONU.
Nicole reproche à son mari d'avoir une maîtresse cubaine, Juanita (Karin Dor), qu'il retrouvera à La Havane. Elle est la maîtresse de Rico Parra (John Vernon), collaborateur de Fidel Castro, qui finit par démasquer et tuer Juanita. À son retour, André apprend que certains Français font partie de l'organisation pro-soviétique « Opale » (« Topaz » dans la version originale). Leur chef est surnommé « Colombine », et l'économiste Henri Jarré (Philippe Noiret) en ferait partie.
À son retour à Paris, André est invité à un cocktail chez Jacques Granville (Michel Piccoli), ancien camarade dans la Résistance. André demande à son gendre François d'interroger Jarré. Inquiets de n'avoir plus de nouvelles de François, André et sa fille Michèle se rendent chez Jarré. Ils y trouvent le cadavre de ce dernier, qui s'est apparemment suicidé.
François réapparaît alors. Il avait été enlevé, mais a pu échapper à ses kidnappeurs et rapporte un renseignement crucial : un numéro de téléphone qu'il a entendu pendant sa captivité. Nicole reconnaît ce numéro de téléphone comme étant celui de Granville, et avoue que ce dernier était son amant. « Colombine » , c'était donc lui. Apprenant peu après qu'il est démasqué, Granville se suicide.