Dans l'article Didier Porte nous allons aborder un sujet qui nous concerne tous d'une manière ou d'une autre. Quels que soient notre âge, notre profession ou nos intérêts personnels, ce sujet concerne tout le monde. Dans cette optique, nous explorerons différents aspects, données et opinions liés à Didier Porte, dans le but de fournir une vision large et complète du sujet. Que nous connaissions Didier Porte ou que ce soit la première fois que nous en entendons parler, cet article nous invite à réfléchir, apprendre et remettre en question notre propre compréhension de Didier Porte.
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Didier Porte, né le à Compiègne (Oise), est un journaliste, chroniqueur et humoriste français.
Né à Compiègne en janvier 1958, Didier Porte obtient une maîtrise de sciences économiques à l’université Paris-X.
Journaliste depuis 1984, Didier Porte collabore à La Dépêche du Midi, au Matin de Paris, à L’Étudiant et à diverses radios comme Canal 102 (basée à Évry), TSF 93, RMC, RFM, Europe 2, Ouï FM, pour leurs journaux et diverses chroniques de télévision.
Pendant huit ans, il est reporter-réalisateur dans l’émission Culture Pub sur M6 et rédige des chroniques régulières pour le mensuel du même nom. Il collabore aux Lois de la jungle puis à Éconoclaste sur La Cinquième, à Tutti frutti et à Comme au cinéma sur France 2, ainsi qu'à Héros vinaigrette, ultime émission animée par Bernard Rapp.
Avec Anne Magnien, il est le coauteur de l’émission La Nuit de la connerie sur Canal+. Cette émission sera complétée par un livre, rédigé avec William Reymond, Le Grand Livre de la connerie.
Sur France Inter, Didier Porte est successivement chroniqueur dans Zappinge (émission de Gilbert Denoyan), Zoom et Audimatraquage (émissions d’Isabelle Motrot), Rien à cirer, Les P’tits Déj’s et Changement de direction (émissions de Laurent Ruquier) avant d'être « remercié » de la station en 1996 pour « inhumanité »[1].
Il réintègre la station fin 1999 pour y donner ses chroniques dans Rien à voir (émission de Laurence Boccolini), et dans l’émission qui l’a remplacée, Le Fou du roi de Stéphane Bern, où on peut entendre jusqu'en 2010 sa chronique quotidienne vers 12 h 5. Il y brocarde pêle-mêle les acteurs de la vie politique, les chaînes de télévision ou les émissions de télé-réalité.
Entre avril 1998 et juin 2006, il signe une chronique quotidienne consacrée à la télévision sur la radio Ouï FM.
Début 2008, Didier Porte tient une chronique hebdomadaire le jeudi à 7 h 53 dans la matinale de Nicolas Demorand sur France Inter. Le , il annonce à l'antenne son licenciement de la station[2], aussi bien pour la matinale que pour Le Fou du roi.
Entre 2008 et 2010, il contribue aussi régulièrement à l’hebdomadaire satirique Siné Hebdo, créé par le dessinateur Siné.
Le , Daniel Schneidermann annonce que Didier Porte aura désormais une chronique, mise en ligne tous les vendredis après-midi sur le site Arrêt sur images[3]. Entre septembre 2010 et septembre 2017, il tient également une chronique hebdomadaire, mise en ligne le lundi midi, sur le site du journal Mediapart, intitulée « MediaPorte »[4]. Il participe aussi en 2010 au Comité de la carte, une émission animée par Philippe Vandel sur Paris Première.
À la rentrée 2011, il réintègre l'équipe de chroniqueurs de Stéphane Bern dans sa nouvelle émission sur RTL, À la bonne heure et devient également « L’avocat du diable » dans La Revue de presse sur Paris Première. Depuis janvier 2015, il signe une chronique dans la version web du magazine culte de Daniel Mermet, Là-bas si j'y suis[5], lui-même débarqué de France Inter à l'été 2014.
Le , il révèle que RTL a décidé, sous prétexte de « choix artistique », de ne pas le reconduire dans l'émission de Stéphane Bern, et commente : « Vu le nombre d'électeurs du Front national qui écoutent RTL, ils préfèrent garder Zemmour à l'antenne plutôt que Porte... »[6].
Depuis la rentrée 2016, il est chroniqueur dans l'émission Ca pique, mais c'est bon d'Anne Roumanoff sur Europe 1[7].
Le , il inaugure une revue de presse hebdomadaire intitulée Vive les médias ![8] sur le site « Là-bas si j'y suis », en même temps qu'il met un terme à sa collaboration avec Mediapart après sept années de « MediaPorte » hebdo. Le , il entame une collaboration hebdomadaire (tous les mardis à 11 h 30) sur Europe 1 dans l'émission Bonjour la France, animée par Daphné Bürki.
Il figure parmi les acteurs du film Satire dans la campagne de Marc Large et Maxime Carsel, dans son propre rôle.
Didier Porte est père de quatre enfants. Son frère, Jean-Luc Porte, est journaliste et a notamment été le chef du bureau de l'Agence France-Presse à Bogota en Colombie[réf. nécessaire].
L'humour de Didier Porte repose sur un style tribun et un positionnement de gauche dont un alliage d’ironie et de franc-parler pour évoquer des sujets parfois très polémiques. Il se conçoit davantage comme un contre-pouvoir, chargé d'attaquer les puissants, plutôt que comme un humoriste selon ses propres termes[9].
Dans sa chronique du Fou du roi, Didier Porte est adepte des portraits à charge de l’invité.
En 2011, Didier Porte soutient publiquement Jean-Luc Mélenchon candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle de 2012, appelant à voter pour lui pendant son spectacle[14].
Dans le contexte de la campagne de l'élection présidentielle de 2017, il apparaît dans un clip de campagne de Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France insoumise (FI)[15].
Sur les planches, Didier Porte est à l'affiche de plusieurs one-man-shows, respectivement intitulés :