Le nom Cocathédrale évoque différentes émotions et opinions chez les gens. De l'admiration et du respect au rejet et à l'indifférence, Cocathédrale a été une source de débat et d'intérêt au fil du temps. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes et perspectives liées à Cocathédrale, depuis son origine et sa signification jusqu'à sa pertinence aujourd'hui. Grâce à une analyse détaillée, nous cherchons à faire la lumière sur ce sujet et à fournir une vision complète et objective qui invite à la réflexion et à la compréhension.
Une église cocathédrale ou, par substantivation, une cocathédrale est, dans l'Église catholique, une église à laquelle le Saint-Siège a concédé — ou reconnu — le rang de cathédrale, et au sein de laquelle se trouve, en conséquence, une cathèdre, siège de l'évêque diocésain, alors qu'elle n'est pas — ou plus — le siège d'un diocèse[1].
D'après la base de données GCatholic, au , l'Église catholique comptait 320 cocathédrales pour 3 043 cathédrales et 43 procathédrales. 473 anciennes cathédrales ne sont pas des cocathédrales. La majorité des cocathédrales sont situées en Europe : l'Italie en compte 140 (43,75 %) auxquelles s'ajoute la basilique-cocathédrale Saint-Marin à Saint-Marin dans le pays du même nom ; la Pologne, 17 (5,31 %) ; et l'Espagne, 14 (4,37 %). Les États-Unis en comptent 17 (5,31 %), et le Brésil n'en compte que 11 (3,43 %) ; et la France métropolitaine 12 (3,75 %) - 13 lorsque l’on ajoute la cocathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption à Saint-Pierre en Martinique. On en compte au moins 4 au Canada dont 2 au Québec (Longueuil, Mont-Laurier).
Hors l'Église catholique, l'Église d'Angleterre, depuis 2014, a trois cocathédrales ; Bradford, Ripon et Wakefield.