Dans le monde d'aujourd'hui, Alexis Chassang est un sujet qui suscite un grand intérêt et un grand débat. Que ce soit dans le domaine académique, professionnel ou personnel, Alexis Chassang est devenu un sujet pertinent et d'actualité. Depuis ses origines jusqu'à son impact sur la société actuelle, Alexis Chassang a généré un large éventail d'opinions et de perspectives. Dans cet article, nous explorerons divers aspects liés à Alexis Chassang, de son contexte historique à son influence sur la culture populaire. De plus, nous discuterons des implications et des défis que Alexis Chassang représente dans différents contextes, ainsi que des solutions et approches possibles pour y répondre. Rejoignez-nous dans cette visite à travers le monde fascinant de Alexis Chassang !
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Formation | |
Activités | |
Parentèle |
Marie-Nicolas Bouillet (oncle) |
Membre de |
Société philologique hellénique de Constantinople (d) () |
---|---|
Distinctions |
Alexis Chassang, né le à Bourg-la-Reine et mort le dans la même ville, est un helléniste, linguiste et grammairien français, connu principalement pour ses ouvrages scolaires.
Admis premier à l'École normale supérieure en 1846, premier à l'agrégation de lettres en 1849, puis docteur ès lettres en 1852, il est professeur de rhétorique aux lycées de Lille et de Bourges, puis chargé du cours complémentaire de langue et littérature françaises à l'École normale supérieure, où il est ensuite professeur de langue et littérature grecques de 1862 à 1871. Il est nommé inspecteur général de l'enseignement secondaire en 1873.
Alexis Chassang a publié des ouvrages scolaires, parmi lesquels un dictionnaire grec-français, ainsi de nombreux articles parus dans diverses revues. Il a traduit la Vie d'Apollonios de Tyane de Philostrate et publié en 1862 une Histoire du roman et de ses rapports avec l'histoire dans l'antiquité grecque et latine. Il a également continué le Dictionnaire universel d'histoire et de géographie de son oncle Marie-Nicolas Bouillet.
De l’Académie française, en 1869, il reçoit le prix Bordin pour Le Spiritualisme et l’Idéal dans la poésie des Grecs et en 1880, le prix Archon-Despérouses pour Remarques sur la langue française, par Vaugelas[1].