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la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe, elle, ne subit pas de changement particulier autre que son passage de l'IHF à l'EHF.
une nouvelle compétitions, appelée Coupe des Villes, est créée afin de permettre à un plus grand nombre de clubs de participer à une coupe d'Europe. Cette compétition, qui sera renommée Coupe Challenge en 2000 possède le niveau le plus faible de l'ensemble des compétitions.
De même, les premières éditions des Championnats d'Europe féminin et masculin seront organisées en 1994.
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20 mars : finale du Championnat du monde masculin. La Russie devient champion du monde pour la première fois (ou la seconde fois avec le titre de 1982 remporté par l'URSS) et confirme ainsi sa médaille d'or des Jeux olympiques de Barcelone (obtenue sous l'égide de l'équipe unifiée). Sur le podium, on retrouve les mêmes équipes qu'aux Jeux olympiques, mais la France devance cette fois-ci la Suède, tenant du titre et hôte de la compétition.
5 décembre : finale du Championnat du monde féminin. L'Allemagne remporte son premier titre depuis sa réunification, venant s'ajouter aux trois titres remportés par la RDA en 1971, 1975 et 1978. Le Danemark, qui s'incline après prolongations 21 à 22, est vice-championne du monde tandis que la Norvège complète le podium.
La Russie devient champion du monde pour la première fois (ou la seconde fois avec le titre de 1982 remporté par l'URSS) et confirme ainsi sa médaille d'or des Jeux olympiques de Barcelone (obtenue sous l'égide de l'équipe unifiée). Sur le podium, on retrouve les mêmes équipes qu'aux Jeux olympiques, mais la France profite du format de la compétition pour cette fois-ci devancer la Suède, tenante du titre.
Le Suisse Marc Baumgartner est devenu le meilleur buteur de ce Championnat du monde en Suède, marquant 47 buts en sept matchs et devançant le Hongrois József Éles et ses 46 buts en sept matchs[4],[5].
La compétition comporte un tournoi masculin avec dix équipes et un tournoi féminin avec six équipes. Dans les deux tournois, la Croatie s'impose et devance la France. Le podium est complété par la Slovénie chez les hommes et par l'Espagne chez les femmes.
La Norvège, finaliste des Jeux olympiques l'année précédente, accueille cette édition avec l'ambition de remporter, à domicile, leur première victoire dans la compétition. La Russie, en difficulté tout au long du tournoi, remporte néanmoins une victoire importante face au pays hôte (19-14), qui prive la Norvège de finale. La Norvège est devancée à la différence de but par l'équipe du Danemark, menée par Anja Andersen, qu'elle avait pourtant dominée lors du dernier match du tour principal. La seconde équipe qualifiée pour la finale est l'équipe d'Allemagne entraînée par Lothar Doering(de), champion olympique en 1980 en tant que joueur. L'Allemagne a réussi à surmonter une entame de tournoi moyenne — qualifiée troisième de son groupe du tour préliminaire — en réalisant un sans-faute lors du tour principal. La finale est l'une des plus serrée de l'histoire de la compétition jusqu'alors. Soixante minutes ne suffisent pas à départager les deux équipes qui disputent une prolongation. Malgré leur domination, les Danoises ne parviennent pas à creuser l'écart et les Allemandes restent au contact. Durant la prolongation, Lothar Doering lance Karen Heinrich(de), auteure jusqu'ici d'un tournoi sans relief, qui va donner la victoire aux Allemandes pour une victoire 22 à 21. Lors de la petite finale, la Norvège se console en remportant une médaille de bronze grâce à une victoire étriquée sur la Roumanie (20-19). La Russie, héritière de l'URSS tenante du titre, termine à la cinquième place.
La Norvégienne Cecilie Leganger a été élue, à seulement 18 ans, meilleure joueuse et meilleure gardienne de but de la compétition[6],[7].
La Norvégienne Heidi Sundal aurait été élue meilleure pivot[8].
Les autres joueuses distinguées ne sont pas connues.
La Coréenne Hong Jeong-ho termine meilleure marqueuse avec 58 buts.