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Titre original |
(grc) Θεάγης |
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Théagès (en grec Θεάγης) est un dialogue apocryphe du pseudo-Platon sur la nature du savoir. Plusieurs auteurs ou philosophes comme Luc Brisson considèrent ce dialogue comme douteux, ou débattent de son authenticité, du fait d'imitations et d'emprunts au Théétète et à l’Alcibiade majeur. Entre autres antiques, le savant Thrasylle et l’historien romain Élien le citent et le considèrent comme authentiques. Le Pseudo-Platon, dans le Théagès[1],[2], l’Épinomis[2] et le Démodocos, discute du conseil et de son importance.
Socrate met les trois dernières personnes sous le même titre de sophiste[15].
« Sont compétents les gens qui fréquentent les gens compétents ». Cette citation est présente au Livre VIII de La République[17],[18]. Platon et Aristophane dans sa pièce Les Thesmophories[19] l’attribuent à Euripide.
La scène se déroule à Athènes sous le portique de Zeus Éleuthéros[20]. L’auteur du dialogue montre que le génie de Socrate n’intervient pas que dans son intérêt[16].
Comment définir le but que Théagès poursuit en voulant acquérir le savoir des sophistes, et de quel savoir il s’agit en l’occurrence[21].
Démodocos, politicien, mène son fils à Socrate pour lui confier son inquiétude : Son fils veut devenir savant, et devenir élève des sophistes[22].
Devant le but avoué de Théagès, la domination des cités, Socrate se demande s’il s’agit d’aspiration à la politique ou à la tyrannie. Selon Socrate, les politiciens ne sont pas capables de former leurs fils à la vie politique. Et Socrate de se demander également à quels maîtres s’adresser. Théagès propose Socrate, qui en débat avec lui-même et attend un signe de son daimôn, celui à qui il obéit, ce génie familier qui se manifeste pour le détourner de certaines actions, son daimôn. Dans le Théagès, Socrate affirme que le véritable pouvoir résulte d’une formation politique.