Dans le monde d'aujourd'hui, Summerlied est un sujet très pertinent qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. Son impact s'est fait sentir dans différents domaines, de la politique à la technologie, en passant par la culture et la société en général. Summerlied a généré un débat passionné et a déclenché une série d'enquêtes et d'études à la recherche de réponses et de solutions. Depuis son émergence, Summerlied a suscité à la fois intérêt et controverse, et a remis en question la façon dont nous percevons et comprenons le monde qui nous entoure. Dans cet article, nous explorerons en profondeur le phénomène Summerlied, en examinant ses nombreuses facettes et son impact potentiel dans le futur.
Summerlied | |
![]() I Muvrini au Summerlied 2012. | |
Genre | Folk, chanson française, variété, chanson alsacienne, jazz manouche |
---|---|
Lieu | Ohlungen, France |
Période | Biannuelle (mi-août) |
Scènes | Clairière, Lisière, Cabaret des Champs, Forêt |
Date de création | 1997 |
Date de disparition | 2018 |
modifier ![]() |
Le Summerlied est un festival de musique et de danse créé en 1997 par Jacques Schleef[1] . Le festival se tient tous les deux ans dans la forêt d'Ohlungen dans le Bas-Rhin, à côté d'Haguenau jusqu'à sa disparition en 2018. Il s'agissit à l'origine d'un festival de chanson alsacienne, mais auquel se greffèrent au fil des ans des musiques d'autres régions de France mais aussi de toute l'Europe, voire du monde entier. Il accueillent des artistes dans des styles très diversifiés : auteurs-compositeurs, chansonniers, cabarettistes, et autres musiciens et artistes. Important festival de musique dans le nord de l'Alsace, il accueillent en 2012 près de 20 000 festivaliers[2].
La première édition du Summerlied a lieu en 1997[3], la seconde en 1998, et est ensuite organisé tous les deux ans, de 2000 à 2018[4],[5].
Les spectacles du festival sont répartis entre plusieurs scènes :
Malgré le succès des têtes d'affiches, notamment lors de l'édition 2014 du festival, le Summerlied reste un moment privilégié pour la promotion et l'expression du dialecte alsacien, ainsi que des artistes locaux en Alsace. Parmi eux, il convient de citer des artistes tels que René Egles, Jean-Pierre Albrecht, Robert Frank Jacobi[8], ou encore Jean-Marie Hummel et Liselotte Hamm, mais également des formations tels que Kansas of Elsass et Em Remes Sini Band. Par ailleurs, le festival organise également des créations liées au dialecte. Parmi ces projets, on peut citer Wurzle[2] (Les racines) de Roland Engel en 2012, ou bien Wildi Stimme, le rendez-vous des voix sauvages en 2014.
Dans le cadre du festival se tient une animation appelée le Bàbbeldorf[9] (village des paroles) qui comprend plusieurs animations organisées autour de l'Arbre à Palabres :
Le , le festival est récompensé par un Bretzel d'or[10], décerné par l'Institut des Arts et traditions populaires d'Alsace, pour son apport à la diffusion de la culture régionale.
Le festival adhère à la Marque Alsace, dès le lancement de celle-ci en 2012. D'autres partenaires aident également à son financement et à son organisation, comme la Région Alsace, le Conseil départemental du Bas-Rhin, l'Office pour la langue et la culture d'Alsace (OLCA), la Mairie de Schweighouse-sur-Moder, le Sivom de Schweighouse et Environs, ou encore la Direction régionale des Affaires culturelles Alsace (DRAC). L'Union européenne contribue également au Summerlied à travers le programme Pamina.