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Une récession parodontale ou récession gingivale, plus couramment appelée déchaussement des dents, est une modification de la gencive au niveau du collet de la dent.
Les récessions gingivales ont de nombreux synonymes et sont également appelées dénudations radiculaires, récessions parodontales ou récessions tissulaires marginales.
Lors d'une récession, la gencive se rétracte, ce qui a pour conséquence que la racine se dénude.
La gencive et l'os disparaissent pour mettre à nu la racine. Le système d'attache est équivalent à ce qu'il est normalement, mais situé plus apicalement. Le problème peut être, ou non, compliqué d'une poche parodontale.
L'étiologie est complexe et nécessite souvent 2 conditions.
Ces facteurs sont pour la plupart anatomiques.
À noter qu'il existe différents types de morphologie du parodonte (Classification de Maynard et Wilson (1980)[1]: type I, II, III, IV) et que le type IV (parodonte + os fins) est un parodonte prédisposé aux récessions parodontales.
Les problèmes de récession sont aussi bien d'ordre esthétique que symptomatiques puisqu'ils sont à l'origine de douleur au froid, au contact ainsi que d'une hyperesthésie dentinaire ainsi qu'une hypersensibilité dentinaire provoquée par la mise à nu du cément.
Sous l'effet d'un traumatisme ou d'une inflammation se forment des digitations acanthosiques au niveau de l'épithélium jonctionnel et en direction du conjonctif. Les digitations progressent sur la gencive, fine et étroite. On observe une réunion des digitations, une disparition du conjonctif et donc la création d'une fente qui s'élargit alors, en fonction de l'étiologie, du temps et de la position de la dent. Parfois, il y a création d'une fenestration gingivale, sorte de pont épithélio-conjonctif, qui survit quelque temps puis disparaît. Elle est alors suivie del'installation d'une forme de récession sous la fenestration.
Il existe de nombreuses classifications. Elles permettent de donner une orientation pour le diagnostic.
Classification tenant compte de la hauteur et de la largeur des récessions ([3]) : Il y a 4 catégories :
Les récessions de + de 3 mm de largeur sont très difficiles à recouvrir, de même que les récessions de + de 3 mm de longueur.
Classification de BENQUE[4] : Classification basée sur les formes de récessions.
Classification de MILLER[5]: Classification la plus utilisée actuellement