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Ruth Amossy est titulaire de la Chaire Henri Glasberg de Culture française et dirige le groupe de recherche ADARR (« analyse du discours, argumentation, rhétorique »)[1]. Elle est rédactrice en chef de la revue en ligne « Argumentation et analyse du discours ». Elle a également été directrice du Département de Français de l'Université de Tel-Aviv, et est actuellement responsable du Programme de Rhétorique au sein du département d’Etudes générales de la Faculté des Lettres.
Ses principales recherches portent sur l'argumentation et l'analyse du discours. À la suite d'un ensemble de travaux sur le cliché et le stéréotype, elle développe une théorie de « l'argumentation dans le discours » qui fait de l'argumentativité une dimension constitutive du discours, et tente de saisir dans la matérialité du langage les modalités selon lesquelles il oriente des façons de voir et de penser[réf. nécessaire]. Elle s'intéresse aussi à la littérature française du XIXe siècle et du XXe siècle[1] et a travaillé en particulier sur Julien Gracq et le surréalisme, Salvador Dali, Balzac, ainsi que sur la littérature de la Première guerre mondiale.
Principales publications
Les jeux de l'allusion littéraire dans Un beau ténébreux, de Julien Gracq, Neuchâtel, À la Baconnierore, coll. « Langages », 1980 .
Les discours du cliché, en collaboration avec Elisheva Rosen, Paris, Société d'édition d'enseignement supérieur, 1982.
Parcours symboliques chez Julien Gracq : Le Rivage des Syrtes, Paris, Société d'édition d'enseignement supérieur, 1982.
Carnaval et comédie dans Les caprices de Marianne, d'Alfred de Musset, en collaboration avec Elisheva Rosen, Paris, Minard, coll. « Archives des lettres modernes », 1983.
Les idées reçues : sémiologie du stéréotype, Paris, Nathan, coll. « Texte à l'oeuvre », 1991.
Dali ou le filon de la paranoïa, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Texte rêve », 1995.
Stéréotypes et clichés : langue, discours, société, en collaboration avec Anne Herschberg Pierrot, Paris, Nathan, coll. « 128 », 1997. Réédition, Paris, Armand Colin, coll. « 128 », 2005[2].
↑Jacqueline Dahlem, « Ruth Amossy, Anne Herschberg-Pierrot, Stéréotypes et clichés », Mots. Les langages du politique, no 60, , p. 171-173 (lire en ligne).
↑Catherine Costentin, « Ruth Amossy, L'argumentation dans le discours. Discours politique, littérature d'idées, fiction, Paris, Nathan, coll. « Fac. Linguistique », 2000 », L'information grammaticale, no 98, , p. 60 (lire en ligne).
↑Roselyne Koren, « Ruth Amossy, L’argumentation dans le discours, Nathan Université, 2000, 247 p. », Mots. Les langages du politique, no 68, , p. 141-143 (lire en ligne).
↑Ruud van der Helm, « Ruth Amossy (2000), L’argumentation dans le discours. Discours politique, littérature d’idées, fiction. Comment peut-on agir sur un public en orientant ses façons de voir, de penser ? », Communication, vol. 22/1, (lire en ligne).