Dans le monde d'aujourd'hui, Résolution 350 du Conseil de sécurité des Nations unies est un sujet qui a retenu l'attention d'un large public. Que ce soit en raison de sa pertinence historique, de son impact sur la société ou de sa pertinence au niveau personnel, Résolution 350 du Conseil de sécurité des Nations unies est devenu un sujet d'intérêt dans différents domaines. Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de Résolution 350 du Conseil de sécurité des Nations unies, en fournissant un aperçu complet et détaillé qui permettra aux lecteurs de comprendre son importance et sa signification. À travers une analyse complète, nous examinerons différents aspects liés à Résolution 350 du Conseil de sécurité des Nations unies, offrant une perspective enrichissante qui stimulera la réflexion et le débat. De son origine à son impact actuel, Résolution 350 du Conseil de sécurité des Nations unies suscite un intérêt qui mérite d’être abordé en profondeur, et cet article vise à satisfaire ce besoin de connaissance et de compréhension.
Date | 31 mai 1974 |
---|---|
Séance no | 1774 |
Code | S/RES/350 (Document) |
Vote | Pour : 13 Abs. : 0 Contre : 0 |
Sujet | Israël - République arabe syrienne |
Résultat | Adoptée |
Membres permanents
Membres non permanents
La résolution 350 du Conseil de sécurité des Nations unies est adoptée à 13 voix contre zéro lors de la 1 774e séance du Conseil de sécurité des Nations unies le , a créé la Force des Nations unies chargée d'observer le désengagement (ou FNUOD), pour surveiller le cessez-le-feu entre Israël et la Syrie au lendemain de la guerre du Kippour.
La résolution 350 est adoptée le par 13 voix contre zéro, la Chine et l'Irak n'ayant pas participé au vote. Elle est initialement créée pour une période de six mois, mais son mandat est renouvelé par des résolutions ultérieures.
Le , Tsahal pénètre dans la zone démilitarisée contrôlée par la FNUOD afin de mener des frappes en Syrie après la chute du régime Assad la veille[1],[2] ; Benyamin Netanyahou, Premier ministre d'Israël, en profite pour réaffirmer la souveraineté d'Israël sur le plateau du Golan — illégale aux yeux du droit international[1],[2]. Cette incursion est dénoncée par l'ONU, l'Arabie saoudite, la Jordanie, le Hamas ou encore le Hezbollah comme une « violation » de la résolution 350[1],[2].