Dans le monde d'aujourd'hui, Pierre Schneider (historien) est un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large spectre de la population. Son impact s'étend à différents aspects de la vie quotidienne, de la science et de la technologie à la politique et à la culture. Dans cet article, les différentes facettes de Pierre Schneider (historien) seront explorées, analysant son importance historique, son évolution dans le temps et son influence sur la société contemporaine. À travers une approche multidisciplinaire, nous cherchons à offrir une vision complète et détaillée de Pierre Schneider (historien), permettant au lecteur de comprendre sa pertinence et ses implications dans le monde d'aujourd'hui.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Peter Ernest Schneider |
Nationalité | |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Membre de |
Pierre Schneider est un historien d'art et écrivain français né à Anvers (Belgique) le et mort le à Paris 13e[1].
Né d'un père polonais et d'une mère allemande[2], Pierre Schneider part en 1942 aux États-Unis où il termine ses études à Berkeley puis à l'université d'Harvard où, membre de la Society of Fellows (1947-1950), il obtient son doctorat de littérature comparée.
Il revient en France en 1950, où il débute plusieurs collaboration avec des revues telles que Le Mercure de France, Les Temps Modernes, Critique et L'Express, pour qui il écrira de sa fondation en 1953 jusqu'en 1993[3]. Un choix de ses chroniques pour L'Express a été publié dans Le Droit à la beauté en 2017[4].
Il était également docteur en histoire de l'art à l'université de Paris (1984).
Pierre Schneider développa des amitiés avec plusieurs peintres, notamment Sam Francis et Jean-Paul Riopelle. Il fut proche de Claude Duthuit, gendre d'Henri Matisse, et publie, après quatorze années de travaux de recherches, une monographie sur le peintre en 1984, ouvrage de référence plusieurs fois réédité, et qui fait toujours autorité[5].
Outre ses très nombreux articles, préfaces de catalogues[6] et conférences, il a collaboré à de très nombreuses expositions et en a organisé plusieurs à partir de l’exposition du centenaire de la naissance de Matisse (Paris, Grand Palais, 1970) ainsi que celles pour le centre culturel d’art contemporain de Mexico et la Fondation Mona Bismarck de Paris. Il a été chargé de deux émissions pour la télévision : La revue de l’art et Champ visuel (1967-1972).
Il meurt le [7].