Dans cet article nous allons analyser l'impact de Photographie d'architecture sur la société contemporaine. Compte tenu de l’actualité de ce sujet, il est impératif de comprendre les implications de Photographie d'architecture dans divers domaines, tels que l’économie, la politique, la culture et la technologie. Dans les prochaines lignes, nous examinerons comment Photographie d'architecture a transformé la façon dont nous interagissons avec le monde qui nous entoure, ainsi que ses conséquences à long terme. Grâce à une analyse détaillée, nous cherchons à faire la lumière sur la dynamique générée par Photographie d'architecture et sur les solutions possibles aux défis qu'elle pose.
La photographie d’architecture est un des principaux genres photographiques. Elle peut être abordée de différentes façons :
Le photographe d’architecture doit être capable de se projeter dans un repère orthonormé horizontal/vertical pour cadrer et composer correctement ses images. À ce titre, l’utilisation d’un trépied est recommandée pour rectifier précisément la position horizontale et verticale de l’appareil photo.
La perspective linéaire théorisée par les artistes Italiens de la Renaissance comme Leon Battista Alberti s’applique à la photographie d’architecture tant que le point de vue reste frontal. Par contre, dans le cas d’un cadrage en plongée ou en contre-plongée, la règle veut que les lignes verticales restent verticales et parallèles entre elles. Cette absence de lignes de fuites n’est pas naturelle, elle implique la mise en œuvre de techniques particulières : soit l’utilisation d’un objectif à décentrement, soit l’utilisation d’une chambre photographique, soit de la post-production.
Cette règle contre-intuitive contraint toute la photographie d’architecture à une illusion de point de vue unique, frontal et à hauteur d’homme. Un point de vue de peintre, en quelque sorte.