Parc national de Chambi est un sujet qui a retenu l'attention et l'intérêt de nombreuses personnes aujourd'hui. Avec une histoire riche en détails et un impact important sur la société, le Parc national de Chambi s'est avéré être une source de débat et de réflexion pour beaucoup. Au fil des années, Parc national de Chambi a évolué et s'est adapté à l'évolution des circonstances, ce qui en fait un sujet pertinent aujourd'hui. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes et perspectives de Parc national de Chambi, ainsi que son influence sur divers aspects de la vie quotidienne.
Pays | |
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Gouvernorat | |
Coordonnées | |
Superficie |
67,23 km2 |
Type | |
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Catégorie UICN | |
WDPA | |
Création |
1980 |
Patrimonialité |
Le parc national de Chambi est l'un des huit parcs nationaux tunisiens créés à partir de 1980. Dès 1977, le site est inscrit comme réserve de biosphère par l'Unesco[1].
Il s'étend sur 6 723 hectares autour du djebel Chambi, le point culminant de la Tunisie, situé à l'ouest du pays (entre la frontière algérienne et la ville de Kasserine).
Il est créé afin de protéger la faune et la flore typiques d'un milieu semi-aride étagé par la montagne.
262 espèces végétales sont recensées et réparties selon l'étagement :
La faune est représentée par 24 espèces de mammifères dont la gazelle de montagne ou gazelle de Cuvier, animal emblématique du parc, et le mouflon à manchettes, deux espèces protégées qui comptent actuellement entre 200 et 300 individus. L'objectif est de doubler leur population à 500 individus d'ici 2010 ainsi que réintroduire d'autres espèces disparues du site dont le cerf de Barbarie. Une importante avifaune bénéficie également de mesures de protection : la perdrix gambra, le bec-croisé des sapins, le percnoptère d'Égypte, l'épervier d'Europe, l'aigle de Bonelli, le faucon pèlerin, etc.
Le parc est complété d'un écomusée et entretenu par le travail d'un personnel de 35 gardiens et quarante ouvriers sous la direction d'un conservateur. Des aménagements visent à développer sa fréquentation dans un but essentiellement pédagogique et touristique. Des vestiges culturels, notamment d'anciennes presses à huile et des mines de plomb, sont en attente d'une mise en valeur.
Situé au sein d'un espace de 43 723 hectares, le parc est exploité en partie pour la pâture par une population estimée à 8 000 habitants.