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Titre original | Operation Petticoat |
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Réalisation | Blake Edwards |
Scénario |
Stanley Shapiro Maurice Richlin |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Universal Pictures |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Comédie militaire |
Durée | 120↔124[1] minutes |
Sortie | 1959 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Opération Jupons (Operation Petticoat) est un film américain de Blake Edwards sorti en 1959.
En décembre 1941, dans l'arsenal de Cavite, le sous-marin USS Sea Tiger (appelé « Tigre des Mers » dans la version française) est gravement endommagé (et même coulé à quai) dans les tout premiers jours de la guerre du Pacifique par un raid aérien japonais.
En vue de lui faire reprendre le combat, son commandant (Matt Sherman) obtient de son chef d'escadrille (le capitaine de vaisseau J.B. Henderson) l'autorisation, sans toutefois disposer des moyens officiels, de réparer le sous-marin. Pour compléter l'état-major, déjà partiellement (et promptement) débarqué, tout comme l'équipage (puisque le bateau est considéré comme perdu) le capitaine de corvette Sherman est assisté par un jeune enseigne de vaisseau (de réserve) sans expérience et ingénu, mais particulièrement débrouillard, « Nick » Holden. Nommé par le commandant « officier d'approvisionnement » (et officier de détail), ce dernier, en s'affranchissant des pesanteurs administratives et règlementaires, déniche tout l'équipement nécessaire aux réparations, y compris un stock inutilisé de pots de peinture rouge et blanche pour repeindre le sous-marin.
Provisoirement remis en état de naviguer, le Sea Tiger entreprend alors une traversée vers Darwin, en Australie (pour des travaux plus complets, et pour éviter de tomber aux mains des Japonais), via Cebu.
Sur sa route, le sous-marin se trouve inopinément contraint de relâcher dans l'île de Marinduque, où se trouvent cinq infirmières militaires (ayant rang d'officiers) abandonnées sur place à la suite d'un atterrissage de leur avion en panne. Elles sont alors recueillies à bord, y semant une perturbation et un émoi assez prévisibles dans l'équipage et l'état-major du sous-marin.
Si le film pouvait être considéré comme une comédie légère en 1959, elle s'alourdit passablement à l'époque de #MeToo, telle cette réplique de Cary Grant : « Quand une fille a moins de 21 ans, elle est protégée par la loi. Quand elle a passé 65 ans, elle est protégée par la nature. Et entre ces deux âges, elle se défend bien[2]. »
En 1997, pour Libération, si le film annonce le talent de Blake Edwards qui explosera dans The Party ou les Panthère rose, il brille par son mauvais goût (délibéré ?)[3] :
En 2001, Le Monde resitue déjà Opération Jupons dans le contexte de 1959[4] :
En 2020, L'Obs préfère malgré tout s'en tenir aux gags et au loufoque du réalisateur de Breakfast by Tiffany[5] :
Tony Curtis tient le rôle du fumiste confronté à des sous-mariniers sérieux, alors que, pendant la Seconde Guerre mondiale, il a servi dans l'US Navy entre 1942 et 1945, à bord du ravitailleur de sous-marins USS Proteus (en).