Dans cet article, nous allons explorer le sujet de Nelumbo, qui a retenu l'attention de divers domaines d'étude et a suscité un grand intérêt tant dans le domaine universitaire que dans la société en général. Nelumbo fait depuis longtemps l'objet de débats et de discussions, et sa pertinence est devenue de plus en plus évidente ces dernières années. Ce sujet a suscité l'intérêt des chercheurs, des scientifiques, des professionnels et du grand public, en raison de son impact sur différents aspects de la vie quotidienne. Tout au long de cet article, nous explorerons les différents aspects liés à Nelumbo, en analysant ses implications, son histoire, son influence aujourd'hui et les scénarios futurs possibles autour de ce sujet.
Règne | Plantae |
---|---|
Sous-règne | Tracheobionta |
Division | Magnoliophyta |
Classe | Magnoliopsida |
Sous-classe | Magnoliidae |
Ordre | Nymphaeales |
Famille | Nelumbonaceae |
Ordre | Proteales |
---|---|
Famille | Nelumbonaceae |
Le genre Nelumbo est le seul représentant de la famille des Nelumbonaceae.
Le genre ne compte plus que deux espèces acceptées :
L'effet lotus est un phénomène de superhydrophobie causé par une rugosité nanométrique. Son nom provient du lotus sacré (Nelumbo nucifera), dont les feuilles présentent cette caractéristique. D’autres plantes, comme les feuilles de capucine (Tropaeolum), de chou (Brassica oleracea), de roseau (Phragmites) ou de l'ancolie, et certains animaux, notamment des insectes, montrent le même comportement. L'effet lotus confère à la surface des capacités autonettoyantes : en s'écoulant, les gouttes d'eau emportent avec elles les poussières et particules. La faculté d’auto-nettoyage des surfaces hydrophobes à structure microscopique et nanoscopique a été découverte dans les années 1970 et son application aux produits biomimétiques remonte au milieu des années 1990.