Dans le monde d'aujourd'hui, Nœud de galère est un sujet en constante évolution et suscite un grand intérêt dans divers domaines. Que ce soit dans le domaine scientifique, culturel, technologique ou social, Nœud de galère est devenu un point de référence et un débat constant. Au fil du temps, il est devenu l’un des sujets les plus importants de l’agenda public, éveillant l’intérêt et la curiosité de millions de personnes à travers le monde. Sans aucun doute, Nœud de galère est un sujet qui ne laisse personne indifférent et son impact est de plus en plus évident dans notre société. Dans cet article, nous explorerons certaines des facettes les plus pertinentes de Nœud de galère et discuterons de son importance dans le contexte actuel.
Autres noms |
Nœud de bec d'oiseau ; nœud d'oiseau ; nœud de trésillon ; demi-nœud gansé ; nœud simple gansé ; nœud coulant sur point fixe |
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ABoK |
#43, #44, #2030, #1825, #1881, #2030 |
Catégorie | |
Domaine |
Marine |
Voisins |
Le nœud de galère est un nœud de base constitué d'un demi-nœud gansé simple à réaliser et à défaire, même après une forte tension[1].
C'est un nœud fréquent qui présente de très nombreux synonymes : nœud simple gansé[2] ou demi-nœud gansé[1], nœud coulant sur point fixe (lorsque la ganse est réalisée dans un anneau)[3], nœud de trésillon[1] (lorsque la ganse est insérée dans un crochet[4]), nœud de bec d'oiseau[5],[6], nœud d'oiseau[1] et nœud de trésillon (lorsqu'un trésillon est inséré dans la ganse pour souquer une épissure[7] ou un cabillot est inséré dans la ganse pour bloquer le nœud[8]).
Pouvant être réalisé en milieu de corde, ce nœud se dénoue tout seul lorsque ses deux brins sont tirés[9], grâce à la ganse, même après une forte tension[1].
Lorsque la ganse est nouée à point fixe (espar, point d'amarrage, brin à épisser ou un autre cordage) :
Ce nœud est utilisé comme palan pour lever des charges[11], souquer (tendre) un cordage[5],[6], ou un brin à épisser[7],[note 2]. Pour ce faire le dormant est fixe et sert de point de traction[6]. Le courant (brin côté ganse) est passé dans l'élément à raidir ou soulever (au moyen d'un anneau ou d'une boucle sur l'objet à tendre), puis repassé dans la ganse du nœud de galère ; en tirant sur le courant on obtient un effet de poulie[5],[6]. Il est possible d'augmenter le nombre de passages pour augmenter la démultiplication[5]. Cette technique est plus efficace sur des bouts tressés par rapport à des bouts à torrons[5], de même la matière du cordage influence le frottement et l'efficacité de la technique.
Il peut être utilisé pour fabriquer une échelle de corde[12]. Dans ce cas, il faut prendre garde à effectuer le nœud dans le bon sens : le nœud n'est coulant que d'un côté, afin d'assurer que le barreau ne glisse pas, il faut qu'il soit coulant vers le haut, et non vers le bas.
Il est utilisé pour régler la longueur de la jugulaire d'un chapeau.
Le nœud de galère est également utilisé par les louveteaux pour nouer leur foulard[13].
Le nœud coulant est utilisé pour fabriquer des pièges[10].
Il existe deux variantes en utilisation le nœud de galère comme nœud d'accroche, bien que pour cet usage, le nœud ne soit pas sûr :
Pour souquer une épissure, on parlera de nœud de trésillon, lorsqu'un trésillon est inséré dans la ganse[7].
De même, on parlera aussi de nœud de trésillon, si un cabillot est inséré dans la ganse, pour bloquer le nœud[8]. Il suffit de retirer le cabillot pour libérer le nœud[8].